AudeColmant vous propose Prends la vie dans le bon sens de Leni CassagnettesEt si un seul texte avait deux sens différents en fonction du sens dans lequel il est lu ?Prends la vie dans le bon sens est un petit texte pour reprendre confiance en soi. Aude Colmant est auteure, coach et formatrice. Elle anime des stages et collabore avec La Tite Compagnie
Edito » Il n’y a pas de bonne compagnie qui ne se quitte ! » C’est par ce dicton populaire, que je vous confirme mon départ et vous présente mon remplaçant. L’abbé Pascal Cambier est originaire de la région de Mons. Âgé de 50 ans, il est ingénieur de formation et a travaillé chez NGK Ceramics à Baudour pots catalytiques pour véhicules automobiles. Son insertion pastorale est passée par Antoing et Soignies-Le Roeulx pour se terminer dans le doyenné de Marcinelle, avec l’abbé Patrick a été ordonné prêtre en la cathédrale de Tournai le 24 juin 2018. Appelé à être dans le monde. »Comment est née votre vocation ? Cela a commencé par une amitié avec une collègue de travail qui m’a parlé de sa foi chrétienne. J’étais athée. De fait, j’avais juste été baptisé enfant et la religion n’avait pas de place dans ma vie. Mais cet échange m’a interpellé et j’ai commencé à m’intéresser à la foi, notamment via le livre Le bonheur en Dieu » de dom Marie-Gérard Dubois, père abbé de l’abbaye de La Trappe », en Normandie. J’ai alors contacté l’auteur, je lui ai expliqué que j’étais en recherche et que je souhaitais aller à la rencontre de moines. Il m’a répondu positivement et c’est ainsi qu’en 2005, je suis allé vivre la Semaine sainte au Mont-des-Cats. Chaque jour, j’ai pu parler avec un moine. Et le Jeudi saint, pour la première fois, j’ai vécu la confession et la communion. Ensuite je me suis trouvé une paroisse, là où j’habitais, à Saint-Ghislain. En 2006, j’ai été moi, la conversion et la vocation sont très liées. J’ai d’abord pensé être moine, devenir prêtre était une alternative qui venait en second lieu. J’ai fait différents essais dans des abbayes, je passais la plupart de mes congés en retraites. Puis j’ai fait deux séjours d’un mois, à Rome et au Mont-des-Cats. Par la suite, pendant près de trois ans, je suis régulièrement allé à l’abbaye de St-Benoît-sur-Loire, près d’Orléans. Jusqu’à ce qu’en 2010 je donne ma démission chez NGK Ceramics, où j’étais chef de service, pour intégrer cette abbaye comme postu-lant durant 1 an puis comme novice durant 10 première année a été une année de conversion de fond, très riche. La pose des fondations. Mais à force de rencontrer des prêtres là-bas, j’ai compris que j’étais appelé à être dans le monde et pas en retrait du monde. Alors je suis revenu à Tournai où j’ai demandé à entrer au séminaire, en 2012. J’ai suivi six années d’études au séminaire de Namur, parallèlement à des stages en paroisse 2 ans à Antoing, 2 ans à Soignies-Le Roeulx et enfin 2 ans à Marcinelle – Mont-sur-Marchienne. Prends le temps de prier, c'est la plus grande qualité du coeur Notre-Dame du Paradis, une Vierge pèlerine malgré elleIl y avait à Solre-sur-Sambre, une abbaye féminine fondée au XIII° siècle par Nicolas de Barbançon, seigneur du lieu l’abbaye de la légende raconte que par un beau jour de 1681, une des religieuses trouva, flottant sur la rivière de la Thure, une statue de Notre-Dame. Ce serait donc par les eaux qu’elle fera son premier arrêt entre un lieu inconnu de la France voisine et l’abbaye. Dans un endroit du parc, dit le Paradis, elle sera vénérée assidûment dans une petite chapelle pendant une bonne centaine d’ 1792, Notre-Dame du Paradis effectuera une seconde pérégrination, non plus sur les eaux de la Thure mais bien dans le noir, le feu et le sang de la Révolution française qui déferlera jusque chez par les débordements » et violences à l’encontre entre autres des ordres religieux, la communauté se réfugiera à Lobbes, ensuite à Thuin, emportant avec elle Notre-Dame du quant à elle, sera pillée et incendiée ; ses ruines et terres confisquées et vendues. Solre-sur-Sambre, Eglise Saint MédardSamedi 3 septembre 16h Procession en l’honneur de Notre-Dame du les moins valides, un transport sera assuré sous réservations au 0496/ messe solennelle en l’honneur de du Paradis. Ensuite, un verre de l’amitié sera l’église, exposition permanente sur l’histoire de l’abbaye de la Thure
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RÉUSSIR AUTREMENT - En matière de prise de décision, il est une idée qui a la vie dure pour faire le bon choix, il faut prendre son temps et bien réfléchir. gettystock gettystock En matière de prise de décision, il est une idée qui a la vie dure pour faire le bon choix, il faut prendre son temps et bien réfléchir. Laurent Faibis, dirigeant de l'institut d'études économiques Xerfi, est loin d'être du même avis "faire une colonne avec les inconvénients d'un côté, les avantages de l'autre, et puis comparer les deux, ça ne marche pas. De toute façon, même si je voulais le faire, je n'en aurai pas le temps!" confie le chef d'entreprise. Confronté quotidiennement à des choix stratégiques à faire, il précise "Bien entraînée, la méthode intuitive est beaucoup plus efficace". Un patron qui recourt à l'intuition pour prendre ses décisions... Une idée saugrenue? Pas vraiment. Pour preuve, une enquête menée à la fin des années 90 par Jagdish Parikh, chercheur de Harvard. 80% des cadres dirigeants interrogés attribuent justement leur succès à leur intuition. L'art de prendre de bonnes décisions, dans sa vie professionnelle ou privée, n'est donc pas qu'une question de raison pure. Au contraire cela demande d'abandonner quelques idées reçues et de suivre des chemins parfois inédits. Voici quelques conseils à suivre si l'aventure vous tente. Les secrets des gens les plus chanceux du mondeQuand la méditation aide les patrons à prendre de meilleures décisionsRalentir pour dépasser durablement la "crise du temps" Conseil n°1 Ne vous embarrassez pas d'informations inutiles "La profusion d'informations engendre une pauvreté de l'attention" résume le prix Nobel d'économie Herbert Simon. Les chercheurs en neurosciences ont ainsi observé que plus nous amassons des données sur un sujet, plus nous courrons le risque de nous éloigner de l'essentiel. Il devient alors difficile de distinguer ce qui est vraiment important de ce qui ne l'est pas. En cause notre cerveau. Si performant soit-il, notre cortex pré-frontal, responsable de nos raisonnements, ne peut gérer qu'une certaine quantité d'informations à la fois. Il va avoir tendance à retenir certains éléments et pas d'autres. Exemple vous visitez une maison ou un appartement en vue d'un achat. Vous vous laissez séduire la présence de deux salles de bains, la peinture toute fraîche, le système domotique ultra perfectionné etc. et vous oubliez l'essentiel ce logement se trouve à deux heures de votre travail et vous détestez ce quartier... Conseil n°2 Ecoutez vos émotions et leurs signaux corporels Non, les émotions ne sont pas l'ennemi de la raison. Au contraire, elles sont un système perfectionné d'alerte, susceptible de donner des informations précieuses sur une situation donnée. Et destiné à nous faire bouger émotion vient du latin motio = mouvement. Vous vous sentez excité, heureux, éprouvez un grand bien-être à l'idée de faire ceci ou cela? Au contraire, vous ressentez de la tristesse, de l'hésitation, de la nostalgie, un sentiment de malaise ou une peur diffuse à l'idée de prendre telle décision? Ces émotions sont un indicateur dont vous devez tenir compte. Les signaux corporels qui les accompagnent peuvent vous y aider. Plaisants ou déplaisants, apprenez à les repérer tension ou détente musculaire, estomac en pelote, frissons, douleur de tête, chair de poule, accélération cardiaque etc. En la matière, chacun a sa propre grille de lecture. Pour se décider, Richard Branson, le PDG de Virgin, se base sur l'excitation ressentie -ou pas- par la proposition qui lui est faite. L'homme d'affaires hongrois Georges Soros lui, avoue se fier à son mal de dos, exactement proportionnel au risque d'un placement financier! Conseil n°3 Sortez prendre l'air ! Vous ne savez pas quelle décision prendre ? Tout est flou ? Vote cerveau carbure à plein régime, mais à vide ?... Faites comme Mozart, qui trouvait l'inspiration lors de promenades, et sortez prendre l'air ! Outre l'effet stimulant sur notre cerveau, mieux irrigué et oxygéné, une petite marche décentre notre attention et nous libère du stress. Elle nous permet d'y voir clair. Pour qu'elle soit vraiment bénéfique, sortez les mains dans les poches. Ne prenez pas votre portable ou coupez-le. Flânez au hasard de vos envies, faites du lèche vitrine sans rien acheter, asseyez-vous sur un banc, sifflotez... Laissez-vous guider là où vous avez envie d'aller, sans réfléchir. Cherchez à entendre, voir, sentir des sons, des détails, des odeurs que vous n'aviez encore jamais remarqué. Laissez-vous surprendre. LA bonne idée pourrait alors bien surgir au détour d'une rue, ne la laissez pas passer! Conseil n°4 Tendez l'oreille aux messages matinaux Soyez sûr qu'en background, votre intelligence inconsciente sait quelle est la bonne décision. Et si vous essayiez de lui tendre une oreille bienveillante ? L'une des solutions solution consiste à capturer les messages émis en phase de réveil matinal. Pendant cette période particulière qui dure environ une dizaine de minutes, notre cerveau émet des ondes thêta et alpha, spécifiques des états de conscience modifié, de relaxation profonde et de méditation. Des informations clé émergent à ce moment là. Elles peuvent être très pragmatiques 'zut, j'ai oublié de répondre au mail de X!', ou plus stratégiques en nous éclairant sur une problématique c'est le fameux 'mais oui, c'est bien sûr !'. Pour les capturer, activez dans un coin de votre tête cette fonction tout en restant endormi. Laissez émerger ces idées à la surface de votre conscience. Si besoin, notez ces idées au saut du lit pour ne pas les oublier ensuite. Conseil n°5 Faites le test du "je le sens ou je le sens pas?" Parfois, nous n'avons pas le temps de réfléchir pour prendre une décision. Nous agissons alors par 'instinct', au 'feeling', 'avec les tripes'... Et ça tombe bien les recherches récente menées en neurosciences nous révèlent que ces décisions intuitives sont souvent les meilleures, en particulier lorsqu'elles concernent un domaine d'expertise que nous connaissons bien, une situation de danger ou d'urgence. Ainsi, votre intuition ou -intelligence inconsciente-, est potentiellement capable de vous guider vers les bons choix, encore faut-il lui donner l'occasion de s'exprimer. Pour la contacter, prenez un instant pour vous centrer, par exemple en respirant profondément. Puis posez-vous cette simple question, à laquelle vous ne pouvez répondre que par oui ou non "Est-ce que je le sens ou pas?".
Lunité légale la vie dans le bon sens est une Association déclarée créée le 1 mars 2006, dont le siège est domicilié au la proutiere, 85500 Saint-paul-en-pareds. Cette entité possède 1. établissement(s). Informations générales Justificatif d’immatriculation Dirigeants Annonces Conventions collectives. Les informations sur cette entité . Dénomination: la vie dans le
Question Réponse Quel est le sens de la vie ? Comment trouver l’épanouissement, le bonheur et un but dans la vie ? Comment accomplir quelque chose de durable ? Certaines personnes ne cessent jamais de se poser ces questions importantes. Après quelques années, elles regardent en arrière et se demandent pourquoi leurs relations se sont brisées et pourquoi elles se sentent si vides, même après avoir atteint les buts qu’elles s’étaient fixé. Un jour, on a demandé à un athlète parvenu au sommet de sa discipline quel conseil il aurait voulu recevoir en débutant. Il a répondu J’aurais voulu qu’on me dise que quand on atteint le sommet, on n’y trouve rien. » Beaucoup de buts ne s’avèrent vains qu’après qu’on ait perdu des années à les poursuivre. Dans notre société humaniste, tous se fixent beaucoup d’objectifs, espérant trouver une raison d’être dans la réalisation de ces derniers. Voici quelques-uns de ces buts le succès en affaires, la prospérité, de bonnes relations, le sexe, le divertissement, la philanthropie. Certains confirment qu’après avoir atteint ces objectifs de prospérité, de bonnes relations et de plaisir qu’ils recherchaient, ils ressentaient toujours un profond vide intérieur que rien ne semblait pouvoir combler. Le livre biblique de l’Ecclésiaste exprime ce sentiment en ces mots Comble de l’inconsistance, dit l’Ecclésiaste, comble de l’inconsistance, tout n’est que fumée. » Ecclésiaste Le roi Salomon, l’auteur de ce livre, était riche au-delà de tout ce qu’on peut imaginer, disposait d’une sagesse plus grande que n’importe qui d’autre à son époque ou à la nôtre, avait des centaines de femmes, des palais et des jardins qui suscitaient l’envie de tous les royaumes, la meilleure nourriture le meilleur vin, et toutes sortes de divertissements à portée de main. Il a dit à un moment donné que tout ce que son cœur désirait, il se le procurait. Pourtant, au final, pour lui, la vie sous le soleil » une vie vécue comme s’il n’y avait rien en dehors de ce que nos yeux voient et que nos sens peuvent expérimenter n’a pas de sens. Pourquoi ce vide ? Parce que Dieu nous a créés pour quelque chose de bien plus grand que ce que nous pouvons éprouver ici-bas. Salomon a dit que Dieu a même mis dans le cœur de l’homme la pensée de l’éternité. » Ecclésiaste Au fond de nos cœurs, nous sommes conscients qu’il y a plus que la vie ici-bas. Dans la Genèse, le premier livre de la Bible, nous lisons que Dieu a créé l’homme à son image Genèse Cela signifie que nous ressemblons davantage à Dieu qu’à quoi que ce soit d’autre à n’importe quelle autre forme de vie. Nous y découvrons aussi les éléments suivants, déjà avant que l’homme ne succombe au péché et que la malédiction du péché ne s’abatte sur la terre 1 Dieu a créé l’homme en tant qu’être social Genèse 2 il lui a donné du travail Genèse 3 il avait une relation avec lui Genèse et 4 il lui a donné la domination sur toute la création Genèse Qu’est-ce que tout cela signifie ? Dieu voulait nous permettre ainsi de vivre une vie épanouie, mais chacun de ces éléments surtout notre relation avec Dieu a subi l’impact de la chute de l’homme dans le péché et la malédiction qui s’est abattue sur la terre Genèse 3. Dans l’Apocalypse, le dernier livre de la Bible, Dieu révèle qu’il détruira la terre et le ciel actuels et créera un nouveau ciel et une nouvelle terre qui subsisteront éternellement. Sa relation avec l’humanité rachetée sera alors pleinement rétablie, tandis que le reste de l’humanité sera jugée indigne et jetée dans l’étang de feu Apocalypse La malédiction du péché sera à jamais effacée ; il n’y aura plus ni péché, ni tristesse, ni maladie, ni mort, ni souffrance Apocalypse Dieu vivra avec ses rachetés et ils seront ses enfants Apocalypse C’est ainsi que la boucle se referme Dieu nous a créés pour une relation avec lui, l’homme a brisé cette relation par son péché, mais Dieu la rétablira pleinement pour l’éternité. Atteindre tous nos buts dans la vie, seulement pour mourir et être éternellement séparés de Dieu, serait pire que futile ! Mais Dieu a pourvu à un moyen, pour nous, non seulement de connaître le bonheur éternel Luc mais aussi d’avoir une vie satisfaisante et pleine de sens sur cette terre. Comment atteindre ce bonheur éternel et ce paradis sur terre » ? Le sens de la vie restauré par Jésus-Christ Le vrai sens de la vie présente et éternelle se trouve dans le rétablissement de la relation avec Dieu que nous avions perdue quand Adam et Ève sont tombés dans le péché, ce qui n’est possible que par son fils Jésus-Christ Actes ; Jean ; Jean Nous obtenons la vie éternelle en nous repentant de nos péchés c’est-à-dire en décidant de ne plus continuer à les pratiquer. Christ nous transforme et fait de nous une nouvelle créature si nous l’acceptons comme notre Sauveur. Mais même si accepter Jésus comme Sauveur est une expérience merveilleuse, le vrai sens de la vie ne se limite pas à cela il consiste à commencer à le suivre Jésus en tant que disciple, en apprenant de lui, en passant du temps avec lui dans sa Parole, la Bible, en communiquant avec lui par la prière et en marchant dans l’obéissance à ses commandements. Si vous n’êtes pas chrétienne ou peut-être nouvellement convertie, vous vous direz peut-être ça n’a rien de très enthousiasmant ni d’épanouissant ! Mais Jésus a fait les affirmations suivantes Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Acceptez mes exigences et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. En effet, mes exigences sont bonnes et mon fardeau léger. » Matthieu Je suis venu afin que les brebis aient la vie et qu’elles l’aient en abondance. » Jean Si quelqu’un veut être mon disciple, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive ! En effet, celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la retrouvera. » Matthieu Fais de l’Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. » Psaumes Tous ces versets disent que nous avons un choix à faire. Nous pouvons continuer à chercher à diriger nous-mêmes notre vie, sans jamais parvenir à combler notre vide intérieur, ou choisir de suivre Dieu de tout notre cœur et de rechercher sa volonté pour nous, avec pour résultat une vie pleinement remplie, épanouissante et satisfaisante, qui comblera les désirs de notre cœur, parce que notre Créateur nous aime et veut le meilleur pour nous pas nécessairement une vie facile, mais épanouissante. La vie chrétienne peut être comparée au choix de payer plus cher pour obtenir une place tout près de l’action lors d’un événement sportif, ou de payer moins pour une place plus éloignée. Nous pouvons voir l’œuvre de Dieu en première ligne, » mais ce n’est malheureusement pas le choix de la plupart des gens. Seuls les disciples consacrés à Christ, qui ont renoncé à leurs propres désirs pour poursuivre ses desseins, le verront agir pleinement. Ils ont payé le prix un abandon total à Christ et à sa volonté, vivent une vie pleinement épanouie et font face à eux-mêmes, à leurs semblables et à leur Créateur sans aucun regret. Avez-vous payé le prix ? Êtes-vous prête à le faire ? Si oui, vous n’aurez plus soif d’un sens à votre vie. English Retour à la page d'accueil en français Quel est le sens de la vie ?
Prendsla vie dans le bon sens est un petit texte pour reprendre confiance en soi. Aude Colmant est auteure, coach et formatrice. Elle anime des stages et collabore avec La Tite Compagnie depuis 2017. Retrouvez le Top 5 des meilleures TITES Histoires en cliquant ici Et rendez-vous demain, dès 18h, pour la prochaine histoire !
J'ai besoin d'écrire car cela me bouffe l'esprit, je me rends malade. C'est pourquoi j'ai besoin de vos avis extérieurs. voici ma "longue" histoire Il y a 6 ans, mon mariqui était à l'époque mon copain depuis qq moiset moi, au cours d'une sortie entre potes, on a sympathisé avec une fille de notre âge j'ai 32 ans. Le contact entre nous est tout de suite bien passé, je dirai surtout entre elle et moi, moi j'étais super contente d'avoir une amie On a les mêmes délires, on se ressemble un peu dans la façon d'être un peu timides, de manquer de confiance en soi, bref on s'était bien trouvées ! Plus les années passent, entre sorties et activités ensemble, on devient de plus en proches et elle est mon témoin à mon mariage. Elle, je ne l'ai connu que célibataire. Je ne lui ai jamais su d'histoires, même des petits flirts, sauf une fois, mais c'est le garçon qui n'était pas intéressé. Mais voilà, qu'il y a qq mois, je la prends en grippe ! Quand on fait des sorties entre potes, j'ai remarqué qu'elle parlait souvent avec mon mari. Je ne pense pas qu'elle le fasse dans l'intention de le draguer, seulement ben elle parle avec lui. Cela se trouve, ils parlaient peutetre déjà beaucoup ensemble, je ne sais pas et c'est là que j'y fais gaffe ! Je sais qu'ils s'entendent bien, qu'ils ont qq points d'intérêt communs... et j'enrage.... Quand on est au resto à plusieurs, j'ai remarqué qu'elle s'asseyait toujours à côté de nous ou à côté de lui peut-être le faisait-elle il y a qq années avant et que je n'y faisais pas gaffe !. ET du coup, je me fais des films "je me dis que mon mari aurait dû l'épouser elle, qu'ils font un joli couple, qu'ils ont des choses en commun" ou je me dis que je vais tomber malade ou mourir du jour au lendemain, et qu'elle, pour le consoler, viendrait le voir, et hop, ils sortent ensemble, sont en couple, et tous nos amis trouvent ça normal ! je me dis qu'elle n'attend que ça pour sortir avec lui...que cela fait qud même 6 ans qu'elle est célibataire, sans petit copain, vous trouvez pas ça bizarre ? Bref, ces pensées négatives me bouffent l'esprit, je n'arrive pas à penser à autre chose, je vous rassure que même si je me fais des idées, cela va bien dans mon couple, je veux dire que mon mari ne me délaisse pas, on s'entend très bien. C'est MOI toute seule qui me met dans cet état de nerfs, dans cet état de perte de confiance de soi ! Est-ce que cela vous ait déjà arrivé ? comment vous avez fait pour vous en sortir. Peut-être faut-il qu'on la voit moins ? Quand on fait des sorties ensemble, j'essaie d'être naturelle, mais je lui en veux à cette amie alors qu'elle, cela se trouve ne se doute de rien et vis sa vie tranquille et moi je vais mal... j'ai besoin de vos avis extérieurs, objectifs pour me remonter le moral, je me sens enlisée.... merci
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Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en développant un projet qui a du SENS. Après avoir accompagné plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prénom et votre email sur la page suivante pour y accéder Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement déjà + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous désinscrire à tout moment. Prendre du recul, voilà un autre impératif pour une existence épanouie. En effet, nous avons souvent tendance à réagir de manière automatique. Quelle que soit la situation, nos émotions prennent souvent le dessus, et elles finissent par dicter notre conduite. Ce comportement n’est d’ailleurs pas relatif qu’aux sentiments. Parfois, nous prenons aussi l’habitude de tout juger sévèrement, à la seconde où les circonstances se sont passées. Et nous n’adoptons pas cette attitude qu’avec les autres. Une grande majorité d’entre nous se montrent très exigeants envers eux-mêmes. Une erreur, un échec, une mauvaise expérience, etc., ce ne sont pas les occasions
Titrede Lilma extrait de son maxi "Laissez moi vivre"Enregistré et Mixé par R'Studio
Prends soin de toi » remplace peu à peu le Sois prudente » lancé au moment des adieux. Mais qu’est-ce que prendre soin de soi ? Et pourquoi cette recommandation, comme une injonction pour pallier un manque d’attention à ses besoins qu’aurait lea voyageureuse une fois sur les routes ? Bref, que cache ce Prends soin de toi » ? La bonne route et la bonne étoile Avant, on disait Que Dieu te garde » expression que nous entendons encore en Amérique latine et Que tout se passe bien ». Maintenant, plus de Dieu ou de bonne étoile à qui s’en remettre. Juste soi. Et cette vague idée du tout » et du bien ». Qu’est-ce que c’est qu’un voyage qui se passe bien ? Cette idée ne se limite certainement pas à la réalisation du voyage tel qu’il était prévu, comme j’en ai déjà parlé dans l’article Le mythe du voyage parfait. Non, on touche à autre chose que de l’organisationnel. On se dirige davantage du côté de la santé, de la sécurité et du bienêtre. Ce Prends soin de toi » est lancé comme une amulette pour protéger le voyageur à son départ. Une amulette pour conjurer un sort ? Celui de s’oublier sur les routes, de se négliger, de ne pas prendre soin de soi… On dit rarement Prends soin de toi » à quelqu’un qui part travailler. Pourquoi cette crainte liée au voyage ? Pourquoi le voyage fait-il peur ? La famille et les amis sont souvent plus inquiets que le voyageur, la veille d’un grand départ. Sois prudente, donne de tes nouvelles, tu as bien tout ce qu’il te faut ? ». Les conseils et recommandations pleuvent avec, toujours, formulé plus ou moins explicitement, l’idée de prendre soin de soi. Jusqu’il y a peu, cela ne me faisait pas particulièrement réagir. Une formule comme tant d’autres… Mais récemment, je suis allée dans les Alpes françaises, aux Menuires, assister à une semaine de conférences et ateliers dédiés au bienêtre la Yogiski Week. Et cela m’a fait réfléchir. J’ai rencontré des professionnels qui prônaient le bienêtre sous différentes formes et approches. J’ai croisé la route de personnes en souffrance ou en épuisement de ne s’être pas assez écoutées, de n’avoir pas assez pris soin d’elles. Des femmes et hommes qui se sont investies dans une vie et un rythme quotidien qui les ont dépassées. Et là je me suis dit, pourquoi ne souhaite-t-on pas au sédentaire, dans sa vie de tous les jours, de prendre soin de lui ? Pourquoi est-ce une formule que l’on m’offre uniquement au moment de mes départs ? Sans doute parce que le voyage fait peur. Il vient couper le rythme de la vie sédentaire. Offrir une parenthèse qui peut ébranler tant le voyageur que son entourage. On sort la tête des rouages, on remet certaines choses en perspective ou en question. On prend le temps de s’arrêter et, tout simplement, de respirer. La peur liée au voyage vient également chatouiller notre rapport à l’inconnu et à ce monde hors de notre fameuse zone de confort. L’ici et maintenant, même s’il n’est pas parfait, a l’avantage d’être connu. On sait à quoi s’attendre. D’où la force des résistances au changement. L’ailleurs et le futur, quant à eux, sont pleins de points d’interrogation, comme autant de possibles en suspens. Et gérer l’incertitude, dans notre société d’exactitude, ce n’est pas toujours évident. Alors, pour contrer la peur du voyage, l’inconfort de la remise en question de notre quotidien, l’angoisse de l’inconnu… on nous dit de prendre soin de nous. Une formule qui vient boucher tous ces vides et leur donner une solution miracle. Prétendre que tout est sous contrôle sous notre contrôle. Si nous faisons ce qu’il faut, nous conjurerons le sort. Qu’est-ce que prendre soin de soi ? Maintenant que je sais pourquoi tant de fois cette amulette Prends soin de toi » m’a été offerte avant un voyage, maintenant que je la tiens au creux de mes mains, j’ai envie d’aller plus loin. De l’examiner plus en détail. Que veut-elle me dire ? Qu’est-ce que cela signifie de Prendre soin de soi ». Un peu comme le bonheur, c’est une notion qui a l’air à la fois fourretout et très personnelle. C’est toujours très difficile de définir ce genre de notion lorsque l’on reste centrée sur soi. Par contre, avec un pas de côté, la question prend un tout autre sens. Prendre soin des autres, c’est plus évident à se représenter. Prendre soin d’un enfant. Prendre soin de ses invitées. Les aider, leur offrir une certaine sécurité, un confort. Répondre à leurs besoins et même, si possible, les devancer. Les entourer de bienveillance aussi. On oublie souvent ce petit mot bienveillance. Et si c’était la clé du bienêtre, la clé de cette amulette Prends soin de toi » ? La bienveillance Être bienveillant, envers soi et les autres. De plus en plus, je me dis que c’est une clé. Une clé importante du bienêtre et du bienvivre. Une clé qu’on oublie souvent et qui se voit reléguée au monde des hippies bobo, décrédibilisée. Comme si elle n’avait pas sa place dans notre société. D’où, aussi, sa réapparition lorsque l’on quitte la société pour partir en voyage… Je vous invite à regarder la vidéo de Et tout le monde s’en fout » sur la bienveillance Être bienveillant à son égard, c’est souvent plus facile à dire qu’à faire. Il a cette satanée voix dans nos têtes qui nous critique sans cesse. Sur notre physique, notre façon de nous comporter et de parler, notre capacité à atteindre à objectif ou à réaliser un rêve. Cette petite voix qui nous souffle que nous ne valons pas grand-chose ou moins que les autres. Tout le monde ne l’entend pas constamment ni avec la même intensité. Mais je pense que tout le monde connait cette petite voix. Et quelle aberration ! Imaginez-vous parler à quelqu’un d’autre comme vous vous parlez à vous même. Vous regarder dans le miroir et vous dire que vous êtes moches. Ne pas trouver vos mots lors d’une conversation et vous dire que vous êtes stupide. Casser un objet et vous dire que vous êtes une incapable… Non, jamais vous ne feriez cela ! Vous auriez même tendance à entourer l’autre de messages positifs Ce n’est pas grave, ça arrive, je t’aime comme tu es. » Mais se dire toutes ses horreurs à soi-même, sous prétexte que ces phrases sont prononcées mentalement sans franchir nos lèvres, tout à coup c’est correct ? Si vous souhaitez apprendre à prendre soin de vous, commencez par la bienveillance. Et si vous ne savez par où commencer, parlez-vous comme vous parleriez à une amie, un petit frère ou une petite sœur. Lorsque vous vous regardez dans la glace tous les matins, pensez que c’est ellui que vous regardez, et envoyez-lui des messages positifs. C’est souvent plus facile d’être bienveillante avec les autres… en tout cas dans un premier temps ! La bienveillance… que pour les femmes ? La bienveillance, le bienêtre, ce sont des notions souvent considérées comme légères, accessoires… et féminines. J’ai d’ailleurs été frappée de voir le nombre d’hommes présents aux ateliers et conférences de la Yogiski Week. La plupart du temps, François était le seul. Et lors d’une conférence sur les émotions, François a pris la parole et mis très justement des mots sur ce phénomène. Les hommes, depuis qu’ils sont petits garçons, ont cette injonction de force, de puissance. Sois fort, un garçon ça ne pleure pas ! Ne fais pas ta fillette ! » Ou encore Tu joues comme une fille »… Les émotions, c’est pour les faibles. Et un garçon, c’est plus fort qu’une fille. Le manque de performance et la présence de douceur tout comme l’expression des émotions sont donc associés aux femmes. Un monde féminin qui est, sous-entendu, moins bien que celui des hommes. Hé oui, encore et toujours ce sexisme ordinaire ! Alors les hommes, ça ne pleure pas, ça ne dit pas que c’est triste ou angoissé. Un homme, ça explose, de joie ou de colère. C’est la seule façon de montrer ses émotions dans la force. Hé oui, le sexisme et le monde patriarcal ont des effets néfastes aussi sur les hommes. Si le sujet de la pression sociale sur les hommes vous intéresse, je vous invite à creuser le sujet avec le documentaire The mask you live in ». On y parle de définition de la masculinité par la société ici américaine, mais tout à fait transposable, de l’éducation que reçoivent les garçons et l’impact sur le développement personnel des hommes. Vraiment intéressant ! François et les derniers rayons du soleil Bon voyage et prends soin de toi Ce bon voyage et prends soin de toi », j’ai envie de vous l’envoyez à vous toutes qui lisez cet article. Et de vous rappeler que la vie est un voyage. Que chaque journée compte. Et qu’il ne faut pas attendre de sortir de ses habitudes pour commencer à prendre soin de soi. Il est souvent trop tard. Cela m’est déjà arrivé, et je suppose à plusieurs d’entre vous également, de tenir bon », de résister aux pressions du monde extérieur, de donner toute mon énergie pour atteindre un objectif quitte à m’oublier… puis, quand vient le moment de souffler, après la période intense, de réaliser à quel point je suis fatiguée, voire épuisée. Il est trop tard alors, le corps lâche prise et c’est là souvent que la maladie s’invite par la porte que nous lui avons laissée grande ouverte. N’attendons pas les voyages et les vacances pour prendre soin de soi. Cela peut se jouer à travers un petit rituel au quotidien, une attention à sa respiration tout au long de la journée, un moment libre de créativité que l’on se réserve comme un rendez-vous avec soi-même, une promenade en pleine nature chaque semaine… À vous de voir comment résonne en vous cette amulette Prends soin de toi ». Et de ne pas l’oublier en chemin. Je vous laisse avec cette citation qui mériterait d’être réécrite aujourd’hui sans sexisme ordinaire Quand chaque homme cherche le plus ce qui lui est utile à lui-même, alors les hommes sont le plus utiles les uns aux autres. Baruch Spinoza Prendre soin de soi, en voyage comme dans la vie Dans un prochain article, je vous reparlerai plus en détail de la Yogiski Week des Menuires qui m’a inspiré cet article, avec toutes les belles découvertes que nous y avons faites.
PRENDSLA VIE DANS LE BON SENS 9 / 100 Très joli poème, écrit par Leni Cassagnettes, maitresse spécialisée. A lire dans les deux sens pour se remonter le moral : Leni Cassagnettes
🧐 Avez-vous déjà tenté de faire entrer un carré dans un rond?C’est ce que j’ai fait durant des années… J’ai forcé, tapé, sauté comme sur une valise qui ne veut pas se fermer. 🤣J’ai bien cru que j’arriverais à faire dévier le cours de ma vie… mais NON!🦸♀️Je me croyais la force de détourner ce que la vie m’envoyait, sans savoir qu’il me fallait non pas lutter, mais juste accepter. 🌬Et j’ai soufflé dans ces moulins à vent tant et tant de fois, jusqu’à m’essouffler, m’époumoner. ⚖️ Mais ce n’était pas de cette croyance, qu’il suffisait de vouloir pour pouvoir, j’ai vécu l’expérience de la désillusion. Car il est une condition indispensable à cette croyance… une fin de citation qui, si l'on ne va pas au bout, modifie tout!🎯 Si ce chemin est bon pour moi. »J’aurais beau vouloir tourner à gauche, si ce chemin n’est pas bénéfique pour moi, la vie mettra en place tout ce qu’il faut pour me faire tourner à droite. Ma lutte sera alors proportionnelle à mes souffrances, mes lassitudes de toujours me voir dévier du chemin comme le mythe de Sisyphe, la vie rejouera son éternelle partition répétitive en temps y a alors un équilibre à trouver. Car à mon sens notre libre arbitre est fondamental. Savoir ce que je veux pour moi, qui je veux être, ce que je veux vivre est primordial. Mais pour ce qui est du comment » y parvenir, c’est là où le lâcher prise, l’acceptation seront dur d’accepter que pour vivre dans l’abondance, il faut passer par le manque. Que pour voir la lumière, il faut trouver sa part d’ombre… Il est tellement difficile d’accepter les souffrances qui en découlent.🦄 Mon expérience personnelle?J’ai travaillé différentes choses dans ma vie. Mon jeu de carte était ce qu’il était, il m’a permis d’aborder certains noeuds de mon existence que je n’aurais pas pu travailler sinon. Alors comment comprendre que pour aller vers mon objectif qui se trouve à droite, je dois tourner à gauche? 🤔Lutter contre ne m’a fait que dépenser beaucoup de temps et d’énergie. La maladie m’a fait rencontrer des personnes guidantes et m’a recentrée sur moi-même. J’ai lutter pour ne plus avoir peur du manque. J’ai tout mis consciemment en oeuvre pour avoir un bon job, un bon salaire, une bonne situation, alors qu’inconsciemment, j’installais tout l’inverse. Je m’ l’impression d’avancer contre le vent, en sens contraire, sans jamais accéder à une situation rassurante face au manque! 🧚♀️Jusqu’au jour où j’ai lâché!J’ai accepté de tourner les talons, d’avancer dans le sens du vent qui m’a emmenée en certains lieux sombres. Ceux où l’on rencontre nos croyances, pas très propres dans le sens où elles ne nous sont pas propres elles ne nous appartiennent pas. Je les ai rencontrées, on m’a tenu la main, l’épaule, on a séché mes larmes, on a écouté mes doutes et mes colères…🧙♂️Il m’a fallu comprendre que ces peurs avaient une origine qu’il fallait accepter et à ce moment là, que j’ai découvert ces petites lumières tout au long de mon chemin. Celles qui m’ont évité de trébucher et celles qui m’ont aidée à me relever lorsque j’étais au m’ont permis de voir, de mettre en lumière ce qui devait être travaillé afin d’accéder à mon dernier était de vivre dans la sécurité. Je n’aurais jamais pensé devoir plonger dans l’insécurité afin de dénoyauter les sources, les peurs qui génèrent et concrétisent celle-ci dans ma vie. L’insécurité financière, l’insécurité du corps, l’insécurité de l’abandon, l’insécurité de la différence…🤥Je travaillais dur à installer des pansements sur cette plaie. Installer tout ce qui aurait pu sécuriser ma vie job, salaires, conjoint, situation pro… face à ma peur. Alors qu’il me fallait travailler sur ce qui créait cette peur du manque en général. Donc accepter d’aller à gauche pour aller à droite!🌺Alors oui, qu’il est bon et nécessaire d’imaginer sa vie! De la rêver, mais dans l’action, il faut accepter de lâcher le guidon tout en pédalant. 🚴♀️ Fermer les yeux afin de mieux être connecté à son coeur. Accepter les détours, les raccourcis, les déviations car soyez certains que la vie les placent ainsi car ils sont bénéfiques pour chacun de n’y a pas qu’un seul chemin qui soit bon. Mais à mon sens, le meilleur est celui dont nous sortons les plus grandis. Sans pour autant souffrir, juste accepter parfois de nous PERDRE pour mieux nous chemin à vous, à nous…
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prends la vie dans le bon sens