diffuserc un peu comme faire des bals ou soirĂ©e tu passe des chansons si kk'un te denonce ou que la sacem te choppe , je suis ok avec manza65 pour l'histoire du contrat , le mec qui crĂ©e ca webradio va ps ecrire a la sacem coucou j'ouvre une radio , si le mec se fait pas pecho ten mieux sinon la sacem t'envoi un jolie contrat , et j'en reviens a Les droits SACEM dans le domaine Ă©vĂ©nementiel figure dans la longue liste d’obligations administratives Ă  exĂ©cuter avant le jour J. Vous devez les maĂźtriser si vous comptez organiser un Ă©vĂ©nement publique impliquant l’utilisation d’Ɠuvres musicales. DĂ©couvrez ce qu’est cette organisation, ainsi que toutes les modalitĂ©s Ă  connaĂźtre sur les tarifications et paiements. Votre Ă©vĂ©nement sur mesure Impressionnez vos convives en organisant un Ă©vĂ©nement Ă  votre image. De la confĂ©rence, au lancement de produit en passant par la soirĂ©e d'entreprise, rendez ce moment inoubliable. Savoir s’organiser incarne une des qualitĂ©s essentielles pour travailler dans l’évĂ©nementiel. Cela se manifeste par les capacitĂ©s Ă  prĂ©voir et anticiper toutes les situations possibles. Pour ne pas avoir affaire Ă  des problĂšmes administratifs, il faut boucler toute la paperasse bien avant le grand jour. Les droits SACEM en faisant partie pour l’évĂ©nementiel, prĂ©voyez tout Ă  l’avance pour le bon dĂ©roulement de votre concert, festival ou mĂȘme votre campagne promotionnelle. La SACEM c’est quoi?Quand faut-il payer les droits SACEM pour l’évĂ©nementiel ?DĂ©marche Ă  suivrePrincipe de tarification des droits SACEM Ă©vĂ©nementiel La SACEM c’est quoi? La SociĂ©tĂ© des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique est une organisation Ă  but non lucratif servant de mĂ©diatrice entre les crĂ©ateurs de musique et ses utilisateurs. Les auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique gĂšrent eux-mĂȘmes la SACEM. Cette derniĂšre se charge de collecter les droits d’auteur lorsque des Ɠuvres sont diffusĂ©s publiquement ou reproduites. Elle rĂ©partit ensuite la somme payĂ©e par les utilisateurs entre les crĂ©ateurs et les Ă©diteurs. A prĂ©sent, l’entreprise protĂšge plus de 121 millions d’Ɠuvres françaises et internationale. 87% des sommes collectĂ©es sont reversĂ©es aux crĂ©ateurs. En 2017, les droits SACEM de l’évĂ©nementiel ont pu rĂ©munĂ©rer 300 000 crĂ©ateurs et Ă©diteurs. Toujours se rappeler que les droits d’auteur reprĂ©sentent l’unique rĂ©munĂ©ration des auteurs et compositeurs. Mais en plus de cet aspect financier, la SACEM dĂ©fend Ă©galement les droits et les intĂ©rĂȘts de ses membres. Elle dispose Ă©galement d’une politique de soutien Ă  la crĂ©ation en accompagnant les carriĂšres artistiques. Cette organisation fait en sorte que les crĂ©ateurs de musique puissent rayonner dans la diversitĂ© en les aidant dans la diffusion des Ɠuvres. Trouvez les meilleures prestataires Ă©vĂ©nementiels DĂ©chargez vous de toute la partie recherche pour l’organisation de votre Ă©vĂ©nement. Nos Ă©quipes s'occupent de comparer, d’analyser puis de vous proposer les meilleures prestations directement et sans frais. La SACEM se consacre Ă  l’action culturelle pour soutenir les artistes. En 2019, le budget allouĂ© Ă  cette initiative atteignait les 32,4 millions d’euros. 2 665 projets ont en bĂ©nĂ©ficiĂ©. Quand faut-il payer les droits SACEM pour l’évĂ©nementiel ? En principe, les droits SACEM pour l’évĂ©nementiel sont obligatoires pour toute diffusion publique d’un ou plusieurs morceaux musicaux. Cependant, la tarification diffĂšre en fonction du mode d’utilisation au cours de l’évĂ©nement. Un fond sonore se distingue d’un karaokĂ© ou d’un cinĂ©-concert par exemple. La SACEM a toutefois Ă©tabli quelques exceptions tarifaires spĂ©cifiques pour simplifier la dĂ©marche. Cela s’applique par exemple pour les repas de NoĂ«l en musique, les sĂ©minaires ou encore la sonorisation de stand. Si vous reprĂ©sentez une association agréée Ă©ducation populaire ou affiliĂ© avec l’organisme collecteur, vous bĂ©nĂ©ficiez Ă©galement d’un rabais de prix. Afin de prendre part aux manifestations destinĂ©es Ă  soutenir la cause humanitaire, la SACEM leur procure des autorisations gratuites. Cela inclut les Restos du CƓur, le TĂ©lĂ©thon, etc. Évidemment, si vous passez de la musique pour danser entre amis dans votre jardin ou pendant un mariage, vous n’avez ni Ă  demander une autorisation, ni Ă  payer quoi que ce soit. Pour tout Ă©vĂ©nement Ă  profits, le paiement est obligatoire. MĂȘme si vous passez simplement un morceau Ă  partir d’un vinyle avant le dĂ©but de votre confĂ©rence, il faut payer les droits Ă  la SACEM. Gardez en mĂ©moire que lorsqu’il ne s’agit pas d’une manifestation privĂ©e, personnelle ou Ă  caractĂšre caritatif, les rĂšglements s’appliquent. DĂ©marche Ă  suivre Que votre Ă©vĂ©nement soit gratuit ou non, vous devez toujours demander une autorisation pour pouvoir diffuser de la musique en public. 15 jours, soit 2 semaines avant la date prĂ©vue, un mail de dĂ©claration de votre Ă©vĂ©nement doit ĂȘtre envoyĂ© Ă  la SACEM. Veillez Ă  fournir des informations complĂštes sur votre manifestation date, lieu, horaire, description dĂ©taillĂ©e, budget technique et artistique. Une fois ces dĂ©tails pris en compte, l’organisation enverra un contrat gĂ©nĂ©ral de reprĂ©sentation avec une indication du montant des droits d’auteur Ă  rĂ©gler. La facture est ensuite envoyĂ©e par courrier aprĂšs la validation du demandeur. Le contrat doit ĂȘtre retournĂ©e une semaine avant l’évĂ©nement. La SACEM vous facilite la tĂąche en fournissant tous les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires sur son site web. Pour des droits SACEM forfaitaires appliquĂ©s Ă  l’évĂ©nementiel, le rĂšglement s’effectue en une fois. Les cas gĂ©nĂ©raux disposent de 10 jours post-Ă©vĂ©nement pour s’acquitter de la facture demandĂ©e. Notez bien que l’organisateur seul doit payer les droits d’auteur. Cela ne relĂšve pas des fonctions des musiciens, DJ ou sonorisateur qu’il sollicite. Principe de tarification des droits SACEM Ă©vĂ©nementiel La tarification des droits SACEM Ă  payer pour l’évĂ©nementiel demeure le mĂȘme pour tous les types d’oeuvres origine, durĂ©e, nombre, genre musicale. Cela ne diffĂšre pas Ă©galement pour les manifestations payantes ou non. Le pourcentage est Ă©tabli selon 2 possibilitĂ©s. La premiĂšre s’accorde avec les recettes rĂ©alisĂ©es, souvent celles des entrĂ©es ou annexes buvette, ventes diverses, etc.. La seconde s’applique sur le budget de dĂ©pense lorsqu’aucune recette n’a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Les bĂ©nĂ©fices ne sont pas prises en compte par la SACEM. Le taux applicable est ensuite rĂ©gie selon le mode de diffusion live ou enregistrĂ©e ou par rapport Ă  des forfaits préétablis. Tout dĂ©pend du contexte d’utilisation de la musique et du type d’évĂ©nement. Votre Ă©vĂ©nement sur mesure Impressionnez vos convives en organisant un Ă©vĂ©nement Ă  votre image. De la confĂ©rence, au lancement de produit en passant par la soirĂ©e d'entreprise, rendez ce moment inoubliable.

LesrĂ©calcitrants recevront une lettre de relance et s’ils ne payent pas, ils risquent une amende jusqu’à 300.000€. Lire aussi : Ed Sheeran est le premier artiste Ă  obtenir 100 millions d'abonnĂ©s sur Spotify, un nouveau record pour le chanteur britannique. La loi est claire sur le sujet et la Sacem est tout Ă  fait lĂ©gitime dans sa dĂ©marche de

Comment s'inscrire Ă  la Sacem sans galĂ©rer ? Alors dĂ©jĂ , je vais vous raconter mon vĂ©cu par rapport Ă  ça, histoire de faire marrer tout le forum, et ensuite je vous expliquerais les diffĂ©rentes Ă©tapes. C'Ă©tait en 2005. Je travaillais Ă  la Fnac et avec un pote de mon rayon, on Ă©tait tout le temps fourrĂ©s au "7 Discoteca". Bref, un jour, je lui ai fais Ă©couter une prod et on l'a terminĂ© ensemble. Par la suite, on s'est dit qu'on pourrait tenter de la sortir en CD. On a appelĂ© partout Ă  Paris et ailleurs pour savoir Ă  combien cela nous reviendrait de faire 300 CD. Vu les tarifs , on a fait ça nous-mĂȘmes ! On a achetĂ© du papier photo, des cartouches d'imprimantes et de la colle pour faire les pochettes. Pour les CD, on a achetĂ© des CD vierges et des ronds de CD Ă  imprimer. Je vous raconte pas la galĂšre pour graver les disques un par un et pour coller les pochettes !!! On y a passer des jours et des nuits. Et pour les flyers, encore pire !!! Bref, on a rempli les papiers qu'il fallait pour les vendre et on est allĂ© au rayon CD de la Fnac pour les mettre en dĂ©pĂŽt-vente. On en a vendu pas loin de 30, sur 50 CD dĂ©posĂ©s. Et on en fait gagner 200 dans un club. Pour le second CD, 6 mois plus tard, on est passĂ©s par une imprimerie spĂ©cialisĂ©e vers Paris pour faire 1000 pochettes. Pour les CD cette fois, on a achetĂ© des CD imprimables. Au jour d'aujourd'hui, j'ai un stock de pochettes hallucinant qui me reste. On est bien entendu, pas rentrĂ©s dans nos frais. On a d'ailleurs "Ă©clatĂ©" le budget ! MAINTENANT JE VOUS EXPLIQUE 1. TĂ©lĂ©charger la demande d'autorisation pour produire un disque 2. Allez sur le site 3. DĂ©posez vos tracks originaux titre, durĂ©e, auteur... 4. Attendez la rĂ©ponse de l'avocat qui prend en charge votre dossier 5. Imprimez l'autorisation 6. Allez Ă  la Fnac ou ailleurs Ă  la Fnac, vous allez directement au rayon concernĂ© et si ça leur plaĂźt, c'est dans la poche. 7. Essayez de vendre vos CD 8. Prenez un RDV Ă  la Sacem comptez 1 mois d'attente et remplissez le dossier que vous aurez reçu. 9. Allez au RDV avec au moins 5 titres originaux dont celui qui Ă©tait dans le commerce. 10. Attendez la rĂ©ponse du conseil d'administration environ 3 semaines 11. RĂ©gler la facture par chĂšque 115 €. NB si vous ne comprenez pas tous les termes de la dĂ©claration Ă  remplir, c'est pas grave, le jour du RDV, ils vous expliquent comment ça marche. Aussi, ils protĂšgent votre pseudo c'est inclus dans le prix, avant c'Ă©tait en plus. Ensuite vous recevrez votre jolie carte Sacem VoilĂ , vous ĂȘtes parĂ©s pour de bon ! bientĂŽt pour un nouveau tuto
Lesclients ne paieront pas plus pour lexpédition pour faire des achats avec code promo wyylde gratuit. Si vous utilisez code promo wyylde gratuit, il n y a pas des frais de livraison supplémentaires. Il peut y avoir trÚs peu de produits avec des politiques dexpédition différentes, mais les consommateurs seront certainement informés. En bref, vous devez
La SACEM est donc lĂ©gitime Ă  collecter les droits d’auteur, mais uniquement pour les artistes inscrits Ă  son rĂ©pertoire. Or, la plupart des artistes cĂ©lĂšbres Ă©tant enregistrĂ©s Ă  la SACEM, il est impossible de contourner la SACEM si vous diffusez de la musique par l’intermĂ©diaire d’une radio ou d’une tĂ©lĂ©vision
 Quelle est la lĂ©gitimitĂ© de la SPRE ? La question est aussi,Quels sont les droits de diffusion de SACEM? Les droits de diffusion SACEM rĂ©munĂšrent donc les artistes-compositeurs et les Ă©diteurs, ou leurs ayants droit. Ce n’est en effet que 70 ans aprĂšs la mort de l’artiste que les Ɠuvres musicales tombent dans le domaine public. De cette façon,Est-ce que la Sacem s’occupe des droits des artistes? La SACEM ne s’occupe pas des droits des artistes, interprĂštes et musiciens, lesquels sont reprĂ©sentĂ©s par deux autres sociĂ©tĂ©s l’ADAMI et la SPEDIDAM. Mais ceci est une autre histoire
 La SACEM n’agit pas seulement pour le compte de ses adhĂ©rents elle collecte aussi les droits pour tous les auteurs, compositeurs et Ă©diteurs Ă©trangers. En consĂ©quence,Quels sont les droits des crĂ©ateurs et Ă©diteurs de la SACEM? Les droits des crĂ©ateurs et Ă©diteurs membres de la Socan canadienne que la Sacem reprĂ©sente auprĂšs des services internet en Europe. Combien de sociĂ©tĂ©s sont liĂ©es Ă  la SACEM? En 2019, 117 sociĂ©tĂ©s d’auteurs Ă©trangĂšres Ă©taient liĂ©es Ă  la Sacem par un accord de reprĂ©sentation rĂ©ciproque ou unilatĂ©ral, soit au total 168 contrats qui couvrent 95 pays la Sacem est aussi prĂ©sente directement au Liban, en PolynĂ©sie et au Luxembourg. La Sacem collecte donc les droits d’auteur pour la diffusion des Ɠuvres Ă©trangĂšres en France. Comment la SACEM vous accompagne dans vos dĂ©marches? La Sacem vous accompagne dans vos dĂ©marches. Vous souhaitez diffuser de la musique dans votre bowling ? Vous souhaitez diffuser de la musique ou des programmes audiovisuels dans votre salle de sport ou de fitness ? Vous souhaitez diffuser de la musique lors de vos cours de gymnastique, de zumba, de danse moderne, classique ou de salon
? Quel est le forfait de base de la SACEM? Le taux applicable est de 11% musique vivante. Le montant final ne peut ĂȘtre infĂ©rieur au forfait de base, dont le montant est de 59,69€ HT. Tous les tarifs sont dĂ©taillĂ©s par type d’évĂ©nements associatifs sur le site internet de la Sacem, vous pouvez les retrouver Ă  cette adresse Quels sont les droits d’auteur de la SACEM? Les droits d’auteur dont vous vous acquittez sont ensuite rĂ©partis et reversĂ©s par la Sacem aux crĂ©ateurs, producteurs et Ă©diteurs des Ɠuvres concernĂ©es. Cette dimension est l’un des trois piliers du travail de la Sacem, Ă©voquĂ©s ci-dessus. Dans quel cas votre association doit-elle faire une dĂ©claration Ă  la Sacem ? Quel est le montant final du forfait de base? Le montant final ne peut ĂȘtre infĂ©rieur au forfait de base, dont le montant est Ă©gal Ă  58,45 € HT *. Ces forfaits et taux concernent les organisateurs qui n’ont pas procĂ©dĂ© Ă  la dĂ©claration prĂ©alable du concert ni signĂ© de contrat. Comment bĂ©nĂ©ficier d’un forfait simplifiĂ©? Comme vous pourrez le constater dans ce document, vous bĂ©nĂ©ficiez d’un forfait simplifiĂ© dans la plupart des occasions. Nous avons Ă©tendu le champ de ces forfaits Ă  une multitude d’évĂ©nements concerts, repas dansants, kermesses, brocantes, spectacles de danse, de magie, de cirque, feux d’artifice, projections audiovisuelles, piĂšces de théùtre
 Comment s’acquitter de la SACEM? Outre les frais de la SACEM, l’exploitant de bar ou de restaurant souhaitant y diffuser de la musique devra s’acquitter de la redevance SPRE SociĂ©tĂ© pour la Perception de la RĂ©munĂ©ration Equitable. Ainsi, il faudra s’acquitter d’une redevance variant de 99,38 Euros Ă  838,23 Euros. Quel est le taux de TVA de la dĂ©lĂ©gation rĂ©gionale de la SACEM? La dĂ©lĂ©gation rĂ©gionale de la Sacem peut Ă©tablir un devis prĂ©cis sur la base des Ă©lĂ©ments communiquĂ©s par le commerçant. Les droits dus sont soumis Ă  la TVA au taux moyen de 15 % pour la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable, en raison du double taux de 20 % part producteurs et 10 % part interprĂštes. Ces tarifs sont annuels et hors taxe. Quel est le statut de la SACEM? M. Halphen, notaire de Paris, entĂ©rine la crĂ©ation de la Sacem, SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique. Les statuts prĂ©voient que la SociĂ©tĂ© a pour objet la protection mutuelle » de ses membres envers les entrepreneurs de spectacle et Ă©tablissements publics qui exĂ©cutent des Ɠuvres musicales ». Comment devenir adhĂ©rent Ă  la SACEM? Il est tout d’abord nĂ©cessaire d’ĂȘtre un adhĂ©rent Ă  la Sacem. Pour devenir adhĂ©rent Ă  la Sacem, il faut Justifier d’un dĂ©but d’exploitation de l’Ɠuvre que ce soit sur YouTube, une plateforme de streaming, en concert ou en spectacle. Vous devez Ă©galement verser des droits d’entrĂ©e, Ă  hauteur de 154 euros. Quelle est la mission de la SACEM? En effet, la Sacem a pour mission de 1 Collecter les droits d’auteurs auprĂšs des diffuseurs d’Ɠuvres protĂ©gĂ©es; 2 Verser les droits d’auteurs aux ayants droit; 3 DĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de ses adhĂ©rents. Quel est le siĂšge de la SACEM? Le siĂšge de la Sacem dĂ©mĂ©nage au 10 rue Chaptal, toujours dans le 9 e arrondissement de Paris. Le syndicat devient un conseil d’administration 12 membres et l’agent gĂ©nĂ©ral devient un directeur. Elle compte plus de 9000 membres. Quel est le rĂŽle de la SACEM? On vous explique tout. SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique SACEM a pour rĂŽle est de gĂ©rer les droits d’auteur. Elle s’occupe de les collecter et de les redistribuer. Pourquoi vous inscrire Ă  la SACEM? Toutes les crĂ©ations dĂ©posĂ©es Ă  la SACEM ne pourront plus ĂȘtre diffusĂ©es gratuitement dans un but commercial. C’est donc un avantage majeur de vous enregistrer, puisque vous pourrez toucher de l’argent dĂšs utilisation de votre Ɠuvre. En second lieu, le fait de vous inscrire Ă  la SACEM s’accompagne de l’enregistrement de votre nom d’artiste. Comment dĂ©poser une demande d’aide Ă  la SACEM? Tous les auteurs, compositeurs et Ă©diteurs membres ou non de la Sacem peuvent dĂ©poser une demande d’aide auprĂšs du fonds de secours. Chaque demande fera l’objet d’une analyse par le ComitĂ© du CƓur des SociĂ©taires de la Sacem et par la Direction des affaires sociales.
\n\n comment faire pour ne pas payer la sacem
Commentne plus payer de sacem ? Pourquoi la sacem n'est pas obligatoire ? 412 likes. Nous vous expliquons pourquoi la sacem n'est pas obligatoire ; et vous avez le choix de

Vous pouvez utiliser SoundCloud pour votre usage personnel, bien que si vous utilisez de la musique dans un espace public, cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une performance publique et vous pourriez avoir besoin de licences supplĂ©mentaires pour cette utilisation. Vous pouvez utiliser SoundCloud pour votre usage personnel, bien que si vous utilisez de la musique dans un espace public, cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une performance publique et vous pourriez avoir besoin de licences supplĂ©mentaires pour cette utilisation. La SACEM est souvent considĂ©rĂ©e – Ă  tort – comme une taxe. Pourquoi est-ce une perception erronĂ©e ? Parce que la SACEM est une sociĂ©tĂ© privĂ©e. Or les impĂŽts et taxes ne peuvent ĂȘtre prĂ©levĂ©es que par l’Etat. Comment se fait-il qu’une sociĂ©tĂ© privĂ©e peut prĂ©lever ce que beaucoup de gens considĂšrent comme une taxe? La raison est simple ce n’est pas une taxe, mais une facture forfaitaire qui correspond au prix de l’utilisation. A quoi correspondent les sommes que je paie Ă  la SACEM ? Lorsque vous buvez de l’eau, vous payez un certain montant Ă  la sociĂ©tĂ© qui vous fournit l’eau, que ce soit l’eau du robinet ou de l’eau en bouteille. Lorsque vous utilisez de l’électricitĂ©, vous payer un certain montant Ă  la sociĂ©tĂ© qui vous a fourni l’électricitĂ©. Vous ne voulez pas payer d’électricitĂ©? TrĂšs bien, n’en utilisez pas et vous n’aurez rien Ă  payer. C’est pareil avec la musique Ă  partir du moment ou vous Ă©coutez de la musique, c’est Ă  dire que vous utilisez un service, il faut payer ce service, soit directement soit Ă  travers la publicitĂ©. Ce paiement se fait auprĂšs de la SACEM. En effet la SACEM reprĂ©sente les artistes auteurs, compositeurs et les Ă©diteurs. Elle agit aussi en tant qu’organisme de perception pour la SPRE, ou SociĂ©tĂ© pour la Perception de la RĂ©munĂ©ration Equitable, qui reprĂ©sente les artistes interprĂštes et les producteurs, et leur rĂ©partit les sommes en fonction de ce qui a Ă©tĂ© diffusĂ©. Les sommes que vous rĂ©glez permettent donc Ă  la SACEM de payer Ă  la fois les auteurs et les chanteurs, ainsi que les producteurs et les Ă©diteurs, pour le travail qu’ils ont fourni. C’est pour cela que l’on dit que la SACEM est une sociĂ©tĂ© re rĂ©partition elle rĂ©partit entre les artistes les sommes qu’elle a perçues. Pour l’anecdote, la SACEM a Ă©tĂ© créée en 1850 par Ernest Bourget, qui Ă©crivait les livrets pour le compositeur Jacques Offenbach et qui en avait assez que la musique soit jouĂ©e gratuitement dans les bars et cafĂ©s parisiens, sans que cela profite aux artistes et notamment aux compositeurs. Le travail que ces artistes ont fourni » ? Que voulez-vous dire ? C’est Ă©vident, crĂ©er et produire de la musique demande du travail, des efforts. Lorsque la musique qui en rĂ©sulte est utilisĂ©e, il est normal de payer pour cette utilisation. Les artistes ne travaillent pas gratuitement. < Curieusement, la plupart des personnes qui se plaignent du prix de la SACEM n’accepteraient pas de travailler gratuitement, mais elles estiment qu’il est normal que les artistes, producteurs et maisons de disque travaillent gratuitement. Elles estiment qu’il est normal de consommer de la musique sans rien payer Ă  personne. C’est tout Ă  fait Ă©trange. Si vous Ă©coutez de la musique Ă  titre personnel, chez vous ou dans votre voiture par exemple, vous payez sans le savoir une rĂ©munĂ©ration Ă©quitable. Par exemple, si vous Ă©coutez une radio FM, celle-ci gagne de l’argent avec les publicitĂ©s qu’elle diffuse et que vous entendez. Une partie des recettes issues de ces publicitĂ©s sont utilisĂ©es par la radio FM pour payer la SACEM. Si vous utilisez Spotify, la sociĂ©tĂ© qui possĂšde Spotify paie un certain montant Ă  la SACEM par chanson, soit Ă  partir de la publicitĂ© soit Ă  partir du prix de l’abonnement. Si vous achetez un titre sur Amazon ou une autre plateforme, le prix de la chanson contient aussi le montant dĂ» Ă  la SACEM. Les sommes perçues par les artistes ne sont en rĂ©alitĂ© pas trĂšs Ă©levĂ©es. Selon un article du quotidien belge Le Soir, voici quelques annĂ©es un groupe de rock touchait 0,0041$ par chanson Ă©coutĂ©e. Si on imagine qu’un artiste devrait pouvoir toucher un salaire minimum de 1500 euros bruts par exemple, un groupe de 4 musiciens devra donc percevoir un montant de 6000 euros. Pour y parvenir, il faudra que ses chansons soient Ă©coutĂ©es au moins 1,5 millions de fois dans le mois. Ce qui est rare. Donc de nombreux artistes, auteurs, compositeurs ou interprĂštes ont des accords avec la maison de disque qui va leur donner un certain montant pour leur permettre de vivre. Bien entendu, certains artistes gagnent beaucoup d’argent lorsqu’une chanson est diffusĂ©e des millions de fois par semaine, l’artiste est trĂšs content et certains sont millionnaires. Mais ils sont rares. La plupart des artistes, compositeurs; interprĂštes etc gagnent trĂšs peu d’argent. Si musicien Ă©tait un mĂ©tier qui permet de devenir riche, cela se saurait. Pourquoi vous ave le droit d’utiliser Youtube Premium, Apple Music ou Spotify en tant que personne privĂ©e, mais pas en tant que commerçant, hĂŽtelier, gĂ©rant de bar ou de gĂźte etc
 Parce que dans le cadre de votre abonnement personnel Ă  ces plateformes vous payez dĂ©jĂ  des droits qui sont reversĂ©s aux artistes. Les sommes que vous payez sont trĂšs faibles, parce que gĂ©nĂ©ralement dans une famille il n’y a en moyenne que 2,3 personnes. Or dans un magasin ou dans un cafĂ© ou un hĂŽtel il y en a beaucoup plus, du moins c’est ce que l’on souhaite au propriĂ©taire. L’idĂ©e, c’est que les auteurs, compositeurs, maisons de production etc doivent ĂȘtre payĂ©s en fonction du nombre d’auditeurs. Si on reprend l’analogie de l’eau, si vous ĂȘtes tout seul et que vous buvez une bouteille d’eau d’1 litre vous allez payer, disons par exemple 1 euro. Si vous invitez 10 personnes et que chacun boit 1 litre cela fait 10 litres donc Ă©videmment vous aller payer 10 euros. C’est pareil dans le cas de la musique si 100 personnes entendent un titre musical, c’est comme si ce titre avait Ă©tĂ© diffusĂ© 100 fois. Comme la SACEM paie les ayants-droits selon le nombre de diffusion; elle doit donc facturer plus pour payer tout le monde. C’est pour cela que la diffusion dans un lieu public coĂ»te plus cher que dans une famille. Bien entendu, il n’est jamais possible de savoir combien de personnes entendent exactement la chanson. Donc la SACEM fait des forfaits, basĂ©s sur des calculs moyens. On peut en effet se dire que dans un restaurant de 40 places qui est plein Ă  60% en moyenne, cela fait en gros 24 personnes par jour. Donc cela donne une base de calcul. Il ne faut pas non plus oublier que, dans un cadre commercial, la musique contribue Ă  votre chiffre d’affaires, dans des proportions trĂšs faibles certes, mais c’est tout de mĂȘme une contribution. De la mĂȘme maniĂšre que l’électricitĂ© contribue Ă  votre chiffre d’affaires, probablement dans une proportion plus Ă©levĂ©e toutefois. Vous payez pour l’électricitĂ© que vous utilisez, vous payez pour la musique que vous utilisez. Logique. A noter, lorsque vous achetez un smartphone, une clef USB, un disque dur, un ordinateur Ă  titre personnel etc, vous payez peut-ĂȘtre sans le savoir un droit sur la copie privĂ©e, qui est reversĂ© aux artistes et Ă©diteurs. Les Ă©quipements utilisĂ©s dans un cadre professionnel ne sont pas soumis Ă  cette perception. En tant que commerçant, puis-je refuser de payer ces droits d’auteur ? Non, c’est illĂ©gal. Utiliser gratuitement le travail des autres personnes sans leur consentement est assimilable Ă  du vol au mieux, Ă  de l’esclavage au pire. En France, le droit d’auteur est inscrit dans la loi sous la forme de la loi n°57-298 du 11 mars 1957 sur la propriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique. Ne pas payer les droits d’auteur est donc assimilable Ă  du vol du point de vue de la loi et c’est donc un dĂ©lit. Article L122-4 du code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle Toute reprĂ©sentation ou reproduction intĂ©grale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite . Techniquement, diffuser de la musique sans payer les droits est une contrefaçon. En thĂ©orie la contrefaçon c’est un maximum de 3 ans de prison et 300 000 euros d’amende. En pratique, un commerçant qui diffuse de la musique sans payer la SACEM n’ira pas en prison, en revanche il risque d’avoir Ă  payer des sommes assez Ă©levĂ©es s’il est pris sur le fait. Il y a gĂ©nĂ©ralement nĂ©gociation, mais en cas de refus de nĂ©gocier cela risque fort d’aller au tribunal, ce qui n’est jamais une bonne idĂ©e. En tant que personne privĂ©e, vous n’avez pas le choix que ce soit Spotify, Apple Music ou la radio FM ou un CD achetĂ© dans le commerce, la rĂ©munĂ©ration des auteurs est dĂ©jĂ  payĂ©e par la sociĂ©tĂ© qui diffuse la musique. Il est vrai que dans le cas des services qui diffusent de la pub, on ne s’en rend pas compte – le prix Ă  payer c’est d’entendre de la publicitĂ©. Pourtant, il existe des musiques libres de droit ? Absolument. Dans le modĂšle normal de la SACEM, les auteurs et compositeurs sont payĂ©s lorsque leur musique est diffusĂ©e. Par consĂ©quent, si la musique de l’artiste n’est pas diffusĂ©e, il ne reçoit pas d’argent. Pour Ă©viter cela, les artistes qui craignent de ne pas rencontrer de succĂšs peuvent dĂ©cider de vendre leur musique Ă  des sociĂ©tĂ©s, en abandonnant leurs droits au passage. On achĂšte alors le droit d’utiliser le morceau de musique en question directement auprĂšs de la sociĂ©tĂ©, qui revend ensuite cette musique libre de droits Ă  ceux qui veulent l’utiliser. Bien entendu cette musique n’est pas gratuite. Pour l’écouter, il faut l’acheter. Vous payez aussi pour avoir le droit de l’utiliser, mais vous payez moins cher qu’à la SACEM, et vous ne payez pas la SACEM mais la sociĂ©tĂ© qui diffuse cette musique. Il peut aussi exister des alternatives totalement gratuites le site SoundCloud par exemple, applique automatiquement un systĂšme de copyright » aux chansons uploadĂ©es par les artistes, pour protĂ©ger leurs droits, sans pour autant les rĂ©munĂ©rer. SoundCloud propose mĂȘme aux artistes qui le souhaitent d’opter pour une licence Creative Common » qui permet Ă  tout le monde de rĂ©utiliser leur musique voire de la modifier etc. Mais pour les artistes professionnels, qui ont uploadĂ© plus de 3 heures de musique, SoundCloud propose un service appelĂ© Premier » qui permet aux artistes de monĂ©tiser leur musique, donc de gagner de l’argent. De plus, l’équipe juridique de SoundCloud avertit ses auditeurs qu’ils n’ont pas le droit d’utiliser la plateforme pour une diffusion commerciale Vous pouvez utiliser SoundCloud pour votre usage personnel, mais si vous utilisez de la musique dans un espace public, cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une performance publique et vous pourriez avoir besoin de licences supplĂ©mentaires pour cette utilisation . En effet, pour utiliser de la musique libre de droit dans un espace commercial ou pour une diffusion publique, il faut que cette utilisation ait Ă©tĂ© expressĂ©ment validĂ©e pour cela. Pourquoi les titres libres de droits sont-ils moins chers qu’à la SACEM ? Parce que la musique libre de droit diffusĂ©e n’est pas connue, ou pas encore connue, ou pas de la mĂȘme qualitĂ©. Les artistes qui passent par ces circuits de diffusion estiment qu’ils n’ont qu’une faible chance de voir leur musique diffusĂ©e au top 40 ou Ă  la radio, et prĂ©fĂšrent vendre leur musique directement aux Ă©diteurs. Chez Ecoutons Pour Voir, nous recevons rĂ©guliĂšrement des propositions d’artistes qui nous suggĂšrent d’acheter 40 ou 50 chansons qu’ils ont composĂ©es. Nous ne donnons Ă©videmment pas suite, car nous ne pouvons pas gĂ©rer les centaines d’artistes qu’il faudrait avoir pour disposer d’un catalogue musical suffisant. Savoir pourquoi les artistes n’ont pas confiance dans leur production musicale est une question difficile. Reste qu’ils ne vendent leurs chansons que quelques euros aux maisons d’éditions libres de droits. Il est certain que pour gagner de l’argent avec la SACEM en tant qu’artiste il faut que votre musique soit diffusĂ©e un grand nombre de fois. Beaucoup d’artistes inscrits Ă  la SACEM ne gagnent qu’une poignĂ©e d’euros par mois. Certains en gagnent beaucoup plus, dĂšs qu’ils ont Ă©crit un tube. Cela peut se monter Ă  des millions d’euros de droits lorsque la chanson est extrĂȘmement diffusĂ©e. Seuls quelques milliers d’artistes gagnent de quoi vivre avec la SACEM ce sont ceux dont les chansons sont souvent diffusĂ©es. Il est possible qu’un artiste qui dĂ©cide de vivre de sa musique mais sait qu’il n’a pas ce qu’il faut pour rĂ©ussir Ă  travers le circuit traditionnel, dĂ©cide de passer par la musique libre de droits pour se constituer un revenu. Les plateformes libres de droit comme SoundCloud permettent Ă  certains artistes de se faire connaĂźtre. Au dĂ©part, la musique de Post Malone Ă©tait sur SoundCloud, disponible gratuitement. A partir du moment ou il a eu du succĂšs et qu’il a signĂ© avec le label Republic Records, il a commencĂ© Ă  percevoir une rĂ©munĂ©ration. Le rappeur nĂ© en 1994 pĂšse en 2020 prĂšs de 14 millions de dollars ce n’est pas la musique libre de droit qui lui a amenĂ© un tel succĂšs. N’ai-je pas intĂ©rĂȘt Ă  diffuser de la musique libre de droits si cela me fait Ă©conomiser des centaines ou des milliers d’euros de SACEM par an? GĂ©nĂ©ralement, la musique libre de droits est perçue comme Ă©tant de moins bonne qualitĂ© par les clients en magasin, souvent parce qu’elle est simplement instrumentale, sans chanteur ni voix connue, parfois parce qu’elle est simplement mĂ©diocre. Les marques qui ont tentĂ© l’expĂ©rience le regrettent assez souvent. Notre conseil si vous ne voulez pas payer la SACEM, il vaut mieux ne pas diffuser de musique. Le silence est prĂ©fĂ©rable Ă  de la musique inadaptĂ©e. Attention si vous dĂ©cidez de diffuser de la musique libre de droits vous ne devez en aucun cas diffuser autre chose. Pas de Spotify, pas de web radio, pas de CD, pas de TV allumĂ©e
 Si vous choisissez de ne pas payer la SACEM, vous allez devoir dĂ©cliner leur proposition de contrat de façon officielle. Si par la suite vous diffusez tout de mĂȘme de la musique au catalogue SACEM vous vous placez d’emblĂ©e dans le domaine des contrefacteurs, et dans ce cas il n’y a pas de nĂ©gociation car la mauvaise foi est avĂ©rĂ©e
 A Ă©viter donc ! Pourquoi faut-il payer la SACEM si j’utilise une TV pour diffuser la musique, alors que je paie dĂ©jĂ  la redevance ? La redevance audiovisuelle n’a rien Ă  voir avec la SACEM. C’est une contribution Ă  l’audiovisuel public, donc un service public. La SACEM est privĂ©e. Ce que fait l’Etat avec la contribution Ă  l’audiovisuel public dĂ©pend du budget de l’Etat et du ministĂšre de la Culture mais une chose est certaine les auteurs, compositeurs et interprĂštes n’en touchent pas un centime. Certaines personnes rĂ©pondent Ă  cela qu’elles ne mettent jamais de musique sur leur TV le problĂšme c’est que c’est impossible Ă  vĂ©rifier, d’autant plus que toutes les chaines passent de la musique Ă  un moment ou Ă  un autre. Donc si vous avez une TV dans un lieu commercial et que vous ne payez pas la SACEM, vous utilisez de la musique sans payer les auteurs compositeurs, et ça, c’est vraiment pas bien. Vous n’aimeriez pas travailler sans ĂȘtre payĂ©, pas vrai? La question a Ă©tĂ© posĂ©e Ă  l’AssemblĂ©e Nationale par une dĂ©putĂ©e du FinistĂšre en mai 2019 madame Le Faure se demandait pourquoi les gĂźtes et chambres d’hĂŽtes qui ont une tĂ©lĂ©vision dans les chambres proposĂ©es aux clients, doivent payer un forfait SACEM. Elle prend l’exemple d’un gĂźte n’accueillant pas plus d’une vingtaine de personnes par an devant payer un forfait annuel spĂ©cial hĂ©bergement touristique de 193 euros, soit 16 euros par mois. Le raisonnement de la reprĂ©sentant du FinistĂšre Ă©tait que cela pĂ©nalise fortement les exploitants de ces hĂ©bergements alors que leurs Ă©tablissements, bien que modestes, jouent un rĂŽle non nĂ©gligeable, notamment en zone rurale, oĂč ils participent au maintien d’une activitĂ©. » Un gĂźte est une activitĂ© commerciale, qu’ils gagnent peu d’argent ou pas. Ils doivent payer pour les services qu’ils utilisent. Est-ce qu’ils paient leur eau? Leur Ă©lectricitĂ©? Oui. Doivent-ils payer la musique qu’ils diffusent? Oui. La rĂ©ponse faite Ă  la dĂ©putĂ©e est claire Si le ministĂšre de la culture dispose d’un pouvoir de contrĂŽle sur les organismes de gestion collective, tels que la SACEM, il ne lui appartient pas de se prononcer sur le bien-fondĂ© de leur politique de gestion des droits, qui ne constituent en aucun cas une taxe ou une redevance de nature fiscale. La redevance de droits d’auteur due par les Ă©tablissements hĂŽteliers est fondĂ©e sur l’article L. 122-2 du code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle qui soumet Ă  l’autorisation de l’auteur la reprĂ©sentation de son Ɠuvre. La redevance en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration Ă©quitable versĂ©e aux artistes-interprĂštes et aux producteurs de phonogrammes est prĂ©vue par l’article L. 214-1 du code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, en contrepartie de la communication au public de phonogrammes du commerce Ă  laquelle les titulaires de droits ne peuvent s’opposer. La Cour de cassation a prĂ©cisĂ© que l’hĂŽtelier qui met Ă  la disposition de ses clients un appareil permettant la rĂ©ception de programmes de tĂ©lĂ©vision, rĂ©alise un acte de communication au public mettant en Ɠuvre le droit d’auteur Cass. Civ. 1Ăšre, 14 janvier 2010, Cass. Civ. 1Ère, 6 avril 1994. Les exploitants individuels de chambres d’hĂŽtes ou de gĂźte qui procĂšdent Ă  des diffusions musicales dans les chambres, les parties communes ou les espaces oĂč un service de petit dĂ©jeuner est assurĂ© pour la seule clientĂšle de l’établissement, et quel que soit le moyen de diffusion radio, tĂ©lĂ©vision, sont ainsi soumis au rĂšglement des droits d’auteurs et des droits voisins auprĂšs de la SACEM » Donc si un propriĂ©taire de restaurant, de gĂźte, de magasin ou d’hĂŽtel ne veut pas payer de SACEM, il suffit qu’il ne mette pas de TV Ă  disposition de ses clients, ni ne diffuse de musique. S’il ne veut pas payer de facture d’eau, il ne met pas de robinet. C’est pourtant simple Ă  comprendre, et on s’étonne que Madame la DĂ©putĂ©e aie posĂ© une telle question. D’ailleurs, le cas n’est pas unique Ă  la France c’est la mĂȘme chose dans les autres pays. Et si je dĂ©cide de diffuser de la musique classique ? Vous pouvez choisir de diffuser de la musique classique en permanence. Beethoven, Bach etc
 sont tous morts depuis longtemps et leur musique est dans le domaine public, ce qui signifie qu’il n’y a plus rien Ă  payer. Attention cependant les enregistrements de musique classique par un interprĂšte peuvent ĂȘtre soumis Ă  droit d’auteur, parce qu’il y a eu 
interprĂ©tation. Une symphonie interprĂ©tĂ©e par Herbert Von Karajan ou par Daniel Barenboim sont soumises Ă  droits d’auteur parce que le chef d’orchestre Ă  transformĂ© la partition initiale Ă  sa maniĂšre; Ă  travers l’interprĂ©tation. De toutes façons, rares sont les commerces qui diffusent de la musique classique en permanence. Cela finit gĂ©nĂ©ralement par faire fuir la clientĂšle, en dehors de cas trĂšs particuliers. Je ne vois toujours pas pourquoi je devrais quoi que ce soit aux auteurs compositeurs et interprĂštes et maisons de disque etc
 Une idĂ©e assez rĂ©pandue c’est que quand on est artiste on a choisi de crever de faim. C’est vrai, aprĂšs tout, au lieu de composer de la musique ou d’écrire des chansons, tous ces artistes feraient mieux de faire un vrai travail, comme comptable, banquier, chauffeur de taxi, etc. Si vous pensez cela alors vous faites partie des gens qui ne devraient pas avoir le droit d’écouter de la musique. Les mĂ©tiers artistiques sont loins d’ĂȘtre faciles, ils demandent Ă©normĂ©ment d’effort, de passion et sont souvent trĂšs mal payĂ©s alors que tout le monde est content d’écouter de la musique. Pour un artiste qui connaĂźt une rĂ©ussite planĂ©taire comme Johnny Hallyday, Post Malone ou Eminem, il existe des dizaines de milliers d’artistes qui ont du mal Ă  joindre les deux bouts. Que toutes les personnes qui utilisent une production artistique rĂ©munĂšrent les artistes, c’est non seulement logique et normal, c’est aussi Ă©thique et c’est convenable. Et si j’utilise de la musique Creative Commons faite par un artiste Ă©tranger qui ne reçoit pas d’argent de la SACEM ou des sociĂ©tĂ©s reprĂ©sentant les artistes interprĂštes Adami, Spedidam
 ? LĂ , on rentre dans un domaine compliquĂ© et purement lĂ©gal. ThĂ©oriquement, si vous ne diffusez que de la musique conçue et fabriquĂ©e Ă  l’étranger, par des auteurs-compositeurs qui vous cĂšdent contre argent ou vous donnent le droit de diffuser leur musique, pourquoi auriez-vous Ă  payer quoi que ce soit Ă  des sociĂ©tĂ©s françaises qui ne reverseront jamais un centime Ă  ces auteurs- compositeurs vu qu’ils ne sont pas situĂ©s en France, ni mĂȘme en Europe? En fait, il faut appliquer la loi, rien que la loi mais toute la loi. Or la loi dit que toute musique diffusĂ©e donne lieu Ă  perception de la rĂ©munĂ©ration. Pour que cela change il faudrait changer l’article L-214-1. C’est possible, mais ce n’est pas gagnĂ©. Voyez avec votre dĂ©putĂ© et patientez quelques annĂ©es, sans parler des implications au niveau europĂ©en. Ensuite, comment garantir que vous ne diffuserez que de la musique libre de droit? Compte tenu de la nature mĂȘme de la musique, c’est trĂšs facile de dire je ne diffuse que de la musique libre de droit » et de passer en rĂ©alitĂ© de la musique non libre de droit. Pour Ă©viter une telle fraude inĂ©vitable il faudrait mettre en place de nombreux contrĂŽles, donc les sociĂ©tĂ©s de perception de droit devraient embaucher beaucoup de contrĂŽleurs, donc les tarifs de la SACEM, SPRE etc augmenteraient pour tout le monde parce que certains ne veulent pas rĂ©munĂ©rer les artistes. Ensuite, il y aurait des quantitĂ©s de procĂšs qui viendraient engorger un peu plus la justice, pour finir par quoi, des peines de prison? C’est tout de mĂȘme assez compliquĂ©. Bien sĂ»r, il y a des gens qui sont prĂȘts Ă  tout pour ne pas payer de redevance, de taxe ni quoi que ce soit. A ces personnes, nous proposons une solution trĂšs simple ne diffusez aucune musique dans votre Ă©tablissement. Dans la solution de radio professionnelle Music Admix que vous proposez, les droits SACEM sont-ils inclus? Cette question nous est souvent posĂ©e, mais la rĂ©ponse est non car comme expliquĂ© plus haut le montant forfaitaire de la SACEM dĂ©pend du nombre de personnes qui sont susceptibles d’entendre la musique diffusĂ©e. Nous ne sommes pas en mesure d’adapter nos prix selon la taille et l’emplacement du magasin ou du restaurant. C’est comme si un restaurant devait changer le prix du steak selon que le client est un gros mangeur ou un petit mangeur ! Impossible Ă©videmment. Donc la SACEM est Ă  rĂ©gler directement par l’établissement. De plus, les solutions de radio d’enseigne, ou radios pour magasin, sont vendues quelques dizaines d’euros par mois. Il existe quelques variations selon le service avec ou sans message, avec ou sans mise Ă  jour, avec plusieurs radios ou une seule, en streaming ou pas, avec accĂšs pour modifier soi-mĂȘme la radio, etc mais grosso-modo les prix se tiennent. Quelques dizaines d’euros par mois, quelques centaines par an. Or, les droits perçus par la SACEM sont Ă  peu prĂ©s toujours plus Ă©levĂ©s, sauf pour les commerces de trĂšs petite taille avec trĂšs peu de vendeurs, ou pour les gites etc. Pour rĂ©sumer La SACEM n’est pas une taxe, c’est le salaire des auteurs, compositeurs etc. Si vous aimez la musique, vous avez envie que les artistes vivent de leur mĂ©tier comme vous vivez du vĂŽtre, Vous trouvez aussi que c’est normal que les gens soient payĂ©s lorsque leur travail est utilisĂ©, Donc vous ĂȘtes content et heureux de payer la SACEM parce que cela correspond Ă  vos valeurs et Ă  votre Ă©thique. Mais vous ĂȘtes surtout heureux parce qu’une bonne radio in-store c’est bon pour votre chiffre d’affaires.

beaucoupdes auteurs compositeurs éditeurs de musique ne restent. pas en France, particuliÚrement les plus aisés. Pour échapper à Sacem et Spre: utiliser des
Bordel mais ce racket monumental Si je ne l'a paie pas il se passe quoi ? Des contrĂŽleurs SACEM qui dĂ©barque en plein milieu ? Bah si tu Ă©coutes la musique dans ta chambre tu as rien Ă  payer hein Le 23 janvier 2022 Ă  014545 Bah si tu Ă©coutes la musique dans ta chambre tu as rien Ă  payer heinNon c'est dans une salle avec 500 personnes Ben si tu veux sortir quelque chose il faut dĂ©clarer mais pas forcĂ©ment payer, ça dĂ©pend du support/quantitĂ©... Pour une diffusion publique je sais pas Message Ă©ditĂ© le 23 janvier 2022 Ă  014802 par Le 23 janvier 2022 Ă  014716 Ben si tu veux sortir quelque chose il faut dĂ©clarer mais pas forcĂ©ment payer, ça dĂ©pend du support/quantitĂ©... Non je sors rien du tout, je demande juste une autorisation ponctuelle de diffusion 600 € Bah si tu les payes pas tu toucheras jamais de droit d'auteur Bordel ils ont changĂ© tout leur tarifs, j'avais calculĂ© surement mal un autorisation Ă  200 € Le 23 janvier 2022 Ă  014915 Bah si tu les payes pas tu toucheras jamais de droit d'auteurMais je m'en branle je ne suis pas artiste, je veux une autorisation de diffusion genre y'a des controles de la SACEM Le 23 janvier 2022 Ă  015117 genre y'a des controles de la SACEM Bah justement C'est pour ça, quels sont les risques ? En vrai si les flics dĂ©barquent au milieu de la soirĂ©e, je suis sĂ»r qu'ils peuvent demander l'autorisation de diffusion Y'a des contrĂŽleurs oui. Ils utilisent Facebook pour lister les Ă©vĂ©nements du coin et faire des contrĂŽles. Ils ont une fois dĂ©barque Ă  un Ă©vĂ©nement que j'organisais il a fallu raquer amende+frais de base Le 23 janvier 2022 Ă  015641 Y'a des contrĂŽleurs oui. Ils utilisent Facebook pour lister les Ă©vĂ©nements du coin et faire des contrĂŽles. Ils ont une fois dĂ©barque Ă  un Ă©vĂ©nement que j'organisais il a fallu raquer amende+frais de baseça tombe bien c'est pas sur facebook Non kheyou, y a strictement aucun contrĂŽle et aucun risque Ă  ne pas la payer, c'est pour ça que les gens payent, parce que ça leur fait plaisir Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
Cen'est pas un lien officiel de la Sacem (rien que pour rigoler, je suis aller faire une simu d'une soirĂ©e privĂ©e sur le site de tarfis de la Sacem, une soirĂ©e privĂ©e comme celle lĂ  me couterait 60€ TTC xD), mais effectivement cela me parait cohĂ©rent de ne rien avoir Ă  payer pour les soirĂ©es privĂ©es, lĂ  oĂč personne ne peut savoir ce qu'il s'y passe.
Le droit d'auteur des artistes et la SACEMAssez naturellement, le crĂ©ateur d'une Ɠuvre de l'esprit comme l'est une musique dĂ©tient des droits sur sa crĂ©ation. La SACEM est chargĂ©e de rĂ©colter les droits d'exploitation des artistes qui y ont droit d'auteur en matiĂšre de crĂ©ation musicaleQuand un artiste compose ou interprĂšte une Ɠuvre, il fait naĂźtre des droits sur elle. Il s'agit lĂ  d'un principe fondamental, qui s'applique aussi bien aux inventeurs qu'aux Ă©crivains ou aux infographistes. Plus prĂ©cisĂ©ment, la paternitĂ© de l'artiste sur son Ɠuvre lui donne, sur elle, un droit de propriĂ©tĂ©. Cela est prĂ©vu par le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, qui encadre la diffusion et l'utilisation des Ɠuvres musicales. Il est donc nĂ©cessaire d'obtenir, en amont, l'accord des titulaires des droits avant d'utiliser une droit de propriĂ©tĂ© se dĂ©compose en deux droits complĂ©mentaires un droit moral, c'est-Ă -dire une propriĂ©tĂ© intellectuelle sur son Ɠuvre, et un droit patrimonial, c'est-Ă -dire la possibilitĂ© pour l'artiste d'exploiter commercialement son Ɠuvre et d'obtenir une rĂ©munĂ©ration si elle est diffusĂ©e par l'article du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, l'auteur d'une Ɠuvre est le seul Ă  pouvoir exploiter son Ɠuvre et en choisir les modalitĂ©s d'exploitation. Autrement dit, il dispose comme bon lui semble de son Ɠuvre. Il peut la garder pour lui, toucher des droits d'auteur quand elle est diffusĂ©e, ou au contraire permettre Ă  n'importe qui d'en disposer Ă  sa guise, pour une utilisation commerciale ou non. Ce droit peut ĂȘtre cĂ©dĂ© et faire l'objet d'une succession. Surtout, l'auteur est libre de choisir d'exercer ce droit d'exploitation de son Ɠuvre par lui-mĂȘme – c'est la musique libre – ou de maniĂšre collective, comme par exemple, en adhĂ©rant Ă  la rĂŽle de la SACEM et le paiement des droitsComme nous l'avons dit plus tĂŽt, la SACEM pour SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique dĂ©tient en France un quasi-monopole sur la collecte des redevances relatives au droit d'auteur des artistes. Il s'agit d'un organisme Ă  but non-lucratif, dont la mission consiste Ă  reverser aux ayants droit, artistes ou labels les droits d'exploitation qui leur sont dus, aprĂšs les avoirs collectĂ©s directement auprĂšs des personnes sollicitant l'utilisation de leurs musiques. Autrement dit, la SACEM joue un rĂŽle d'intermĂ©diaire entre propriĂ©taires et exploitants. DĂšs lors, si le propriĂ©taire d'une Ɠuvre a adhĂ©rĂ© Ă  la SACEM, le seul moyen Ă  votre disposition pour pouvoir la diffuser est de faire une demande auprĂšs d'elle et de payer d'importantes royalties qui reviendront Ă  l'artiste par son intermĂ©diaire. Il vous faudra vous acquitter de ces modalitĂ©s trĂšs contraignantes pour toute diffusion musicale publique, c'est-Ă -dire, qui n'entre pas dans le champ de l'exception prĂ©vue par le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle des reprĂ©sentations privĂ©es et gratuites effectuĂ©es exclusivement dans le cercle de famille ».Utiliser une musique protĂ©gĂ©e sans payer les droits ? Une mauvaise idĂ©eLe coĂ»t des redevances SACEM est trĂšs dissuasif pour les entrepreneurs et les crĂ©ateurs, surtout les auto-entrepreneurs et les PME, qui n'ont pas de remises proportionnellement intĂ©ressantes au vu de leur taille rĂ©duite. S'ils veulent agrĂ©menter leur expĂ©rience client de musique ou crĂ©er un montage vidĂ©o avec fond musical, ils doivent dĂšs lors consacrer une part importante de leur budget Ă  ces droits SACEM. Cela est aussi le cas pour la simple utilisation d'une musique pour une mise en attente tĂ©lĂ©phonique, et mĂȘme, pour son utilisation dans l'espace de travail des salariĂ©s ! Il est donc tentant de ne pas dĂ©clarer l'utilisation des musiques du rĂ©pertoire de la SACEM Ă  cette derniĂšre, pour faire de grosses Ă©conomies. Mais il s'agit souvent d'un trĂšs mauvais calcul ! Si la SACEM le dĂ©couvre, elle appliquera une tarification majorĂ©e. Pire, le non-respect de cette double obligation de dĂ©claration et de paiement de la redevance sur la diffusion de musique est constitutif du dĂ©lit – sĂ©vĂšrement rĂ©primĂ© – de contrefaçon. La personne qui a failli Ă  son obligation s'expose alors Ă  une peine de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 € d'amende !Comprendre les musiques libres de droits et leurs avantagesFace Ă  ce tableau peu encourageant qui perdurait depuis des dizaines d'annĂ©es, une alternative vĂ©ritablement intĂ©ressante a Ă©mergĂ© la musique libre de droits. Beaucoup moins onĂ©reuse, il est aussi beaucoup plus facile de la diffuser en toute lĂ©galitĂ© !DĂ©finition de la musique libre de droitsL'appellation comporte une grande ambiguĂŻtĂ©, qu'il nous faut dissiper dĂšs maintenant musique libre de droits n'est pas synonyme de musique gratuite. Mais alors, Ă  quoi cette notion renvoie-t-elle ? Le terme libre fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'exploitation par l'auteur de sa crĂ©ation. Autrement dit, une musique libre de droits est une crĂ©ation musicale dont l'artiste gĂšre l'exploitation lui-mĂȘme, sans passer par un intermĂ©diaire comme la SACEM. LibĂ©rĂ©s des sociĂ©tĂ©s de gestion des droits d'auteur, les artistes qui choisissent ce modĂšle ont une grande libertĂ© dans la dĂ©termination des modalitĂ©s d'utilisation de leur crĂ©ation ils peuvent autoriser ou non la reproduction de son contenu, sa modification, ses usages – commerciaux ou privĂ©s – et, finalement, dĂ©terminer les prix et les conditions pour chaque type d'utilisations autorisĂ©es. Parmi les musiques libres, on compte Ă©galement les Ɠuvres tombĂ©es dans le domaine public. En effet, en droit français, une Ɠuvre de l'esprit tombe dans le domaine public aprĂšs expiration d'un dĂ©lai standard de 70 ans, ou si l'artiste choisit de la placer dĂšs le dĂ©but dans le domaine public. Il est donc possible de l'exploiter librement, sans autorisation prĂ©alable et de maniĂšre vu du nombre impressionnant de paramĂštres sur lesquels les auteurs ont la mainmise, le risque Ă©tait que ceux voulant diffuser de la musique soient complĂštement perdus dans des conditions juridiques d'utilisation toujours diffĂ©rentes et difficilement comprĂ©hensibles. Bienheureusement, les licences Creative Commons sont venues mettre de l'ordre. Si rien ne contraint l'auteur Ă  les utiliser, elles ont le mĂ©rite d'apporter de la clartĂ© et de la simplicitĂ© aux deux camps les artistes et les personnes exploitants les Ɠuvres musicales. Leur fonctionnement est assez simple. L'organisation Ă  but non-lucratif Creative Commons a construit des licences préétablies et sĂ©curisĂ©es juridiquement. Pour chaque type d'utilisation de sa musique, l'auteur n'a donc plus qu'Ă  choisir la licence qui lui paraĂźt la plus adaptĂ©e. Par exemple, il peut dĂ©cider que l'utilisation non-commerciale de sa musique sera sous une des licences gratuites Creative Commons, alors que son exploitation commerciale rĂ©pondra Ă  une autre licence, lui permettant d'ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ©. Ainsi, vous ĂȘtes libre d'utiliser la musique en question, du moment que vous respectez les termes du contrat de licence choisi par l'auteur, sans verser ensuite de royalties Ă  un organisme comme la SACEM. Le prix de la musique libre de droits est principalement dĂ©terminĂ© par les modalitĂ©s de la licence, comme par exemple la durĂ©e d'exploitation de la musique, la nature de cette exploitation ou les supports employĂ©s. Au contraire, pour les musiques relevant de la SACEM, le principal facteur faisant enfler les factures, c'est la renommĂ©e de l' utiliser des musiques libres de droits ?Certes, en utilisant de la musique libre de droits, vous renoncez Ă  diffuser dans votre magasin ou dans vos vidĂ©os le dernier tube du moment, celui que votre clientĂšle connaĂźt dĂ©jĂ  et apprĂ©cie. En outre, vous n'aurez aucune exclusivitĂ© sur les titres diffusĂ©s et ils n'auront pas Ă©tĂ© Ă©crits pour vous. DĂšs lors, il est possible que vous soyez amenĂ© Ă  faire quelques compromis sur l'identitĂ© sonore de votre boutique ou de votre crĂ©ation. Et pourtant ! Il s'agit lĂ  de dĂ©savantages trĂšs relatifs au regard de l'incroyable flexibilitĂ©, du bas coĂ»t et du rapport qualitĂ© prix imbattable de cette solution. Pour quelques dizaines d'euros Ă  peine, vous pouvez acquĂ©rir le droit d'exploiter le morceau qui vous plaĂźt le plus, parmi un trĂšs large catalogue, mis Ă  jour en permanence et dans tous les styles musicaux. Parfois, il est mĂȘme possible de trouver des artistes de renommĂ©es mondiales ayant choisi ce mode de diffusion. La procĂ©dure est vraiment plus simple que dans le cas de la SACEM fini les contrats compliquĂ©s, place au shopping en ligne de droits d'exploitation des musiques ! Enfin, ce moyen d'acquĂ©rir des musiques est bien plus logique Ă  l'Ă©poque du streaming, de l'internet libre et du piratage, oĂč les labels et les droits SACEM paraissent bien Music Shop, votre site de rĂ©fĂ©rence pour les musiques libres de droitConvaincus par la musique libre de droits et ses nombreux avantages ? Vous voulez passer Ă  l'action en achetant vos premiers titres ou simplement Ă©couter des exemples de titres disponibles ? Creative Music Shop est lĂ  pour vous !Toutes les musiques sur Creative Music Shop sont libres de droitIl n'est pas toujours aisĂ© de dĂ©terminer si une musique est rĂ©ellement libre de droits. Plusieurs techniques complĂ©mentaires peuvent ĂȘtre mobilisĂ©es pour tenter de vous en assurer. La plus connue consiste Ă  rechercher le titre en question sur la plateforme Youtube en utilisant le filtre Creative Commons. NĂ©anmoins, c'est une technique un peu hasardeuse certains youtubeurs attribuent, un peu vite, une licence Creative Commons Ă  des pistes musicales pourtant soumises Ă  une gestion collective des droits d'auteur. Pour ĂȘtre certain que la musique que vous souhaitez utiliser est vĂ©ritablement libre de droits, vous devrez donc vous renseigner directement sur le site de l'auteur et, le cas Ă©chĂ©ant, le contacter directement. Il serait plus simple d'utiliser notre catalogue ! Vous y retrouverez le meilleur choix de musiques libres de droits, prĂ©sĂ©lectionnĂ©es par nos monteurs pour qu'elles s'adaptent facilement Ă  vos projets. Vous allez gagner beaucoup de temps dans le processus – parfois long et laborieux – de recherche de la musique idĂ©ale pour votre projet. SpĂ©cialistes dans l'adĂ©quation entre la musique et l'image, vous ĂȘtes assurĂ© de trouver chez nous des musiques tendances, qui plairont Ă  votre audience. Tous les artistes que vous retrouvez sur notre site ont signĂ© avec nous un contrat d'enregistrement exclusif ou contrat d'artiste. Elles sont donc Ă  la fois Royalty-free, c'est-Ă -dire que tous les droits d'Ă©dition et associĂ©s ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©glĂ©s, mais aussi et surtout, libres de droits de la SACEM. En effet, nos auteurs ne sont jamais adhĂ©rents Ă  la SACEM ou Ă  toute autre sociĂ©tĂ© de gestion collective des droits d'auteur. Cela signifie que personne ne pourra, par la suite, vous rĂ©clamer des droits d'auteur. Vous restez seulement redevable, le cas Ă©chĂ©ant, de la RĂ©munĂ©ration Ă©quitable perçue par la SociĂ©tĂ© de Perception de la RĂ©munĂ©ration Équitable SPRE, qui est collectĂ©e pour toute sonorisation de lieu public tels que commerce, bar/restaurant, grande distribution mais aussi salle d'attente, de jeux, couloirs, etc.Toutes les musiques libres de droit vendues sur le site sont des musiques libre de droits d’auteur n’excluant pas le rĂšglement de la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable dans les conditions de l’Article L. 214-1 et suivants du Code de la PropriĂ©tĂ© Intellectuelle, ce qu’il appartient Ă  l’acheteur/utilisateur de dĂ©terminer, sans responsabilitĂ© Ă  cet Ă©gard du prĂ©sent des musiques de Creative Music ShopGrĂące Ă  la simplicitĂ© de notre service, vous ĂȘtes Ă  l'abri des nombreux soucis que reprĂ©sente une dĂ©marche auprĂšs de la SACEM. La musique libre de droits est simple d'utilisation, nous l'avons dĂ©jĂ  dit. Elle l'est encore plus avec Creative Music Shop. Notre fonctionnement est trĂšs simple vous choisissez le ou les titres qui vous intĂ©resse, vous les rĂ©glez directement sur notre site Internet et, immĂ©diatement, vous recevez votre fichier WAV haute-fidĂ©litĂ© ainsi que les droits d'exploitation de l'Ɠuvre. Les limites Ă  cette utilisation ne sont pas trĂšs contraignantes, mais doivent ĂȘtre signalĂ©es. Pour commencer, vous ne devenez pas le propriĂ©taire de l'Ɠuvre. Sauf mention contraire, nous restons seuls titulaires des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle sur les fichiers musicaux. Ensuite, vous ne pouvez pas revendre la musique achetĂ©e, mĂȘme modifiĂ©e. Enfin, vous ne pouvez pas transfĂ©rer votre licence d'utilisation Ă  autrui, mĂȘme Ă  votre client si vous diffusez la musique pour son compte. En dehors de ces utilisations prohibĂ©es, votre licence d'utilisation vous donne une grande flexibilitĂ© dans l'exploitation de la musique achetĂ©e ! Vous pourrez l'utiliser comme vous le voulez, pour tous vos projets. Vous ĂȘtes libres de reproduire, rediffuser ou rĂ©utiliser le fichier musical achetĂ© sous quelque forme que ce soit. Cela inclut, par exemple, la possibilitĂ© de modifier le fichier pour l'incorporer dans une Ɠuvre dĂ©rivĂ©e, comme par exemple une musique d'attente tĂ©lĂ©phonique ou encore un long-mĂ©trage. Enfin, vos droits d'exploitation sur l'Ɠuvre sont sans limitation de durĂ©e.
Sujet: Re: Comment financer une soirĂ©e Je suis dans la mĂȘme position que toi je compte faire une soirĂ©e (bien organiser avec de la securitĂ©, bonne sono , bon light , bon decor un truc pas fait Ă  l'arrache en gros) j'ai pas encore reflechis au prix mais je pense ĂȘtre 200 personnes environ obligĂ©s de faire payer tout le monde mais j'ai deja poster un
Pourquoi? Il est important de poser cette question. Pourquoi donc est-ce qu’on ne pose pas assez cette question? On devrait constamment se demander pourquoi ci et pourquoi ça. Alors depuis plus de dix ans, une importante quantitĂ© d’oeuvres se fait tĂ©lĂ©charger illĂ©galement sur le Web, privant ainsi les artistes d’un revenu qu’il leur appartient, faisant ainsi courir les joueurs dans toutes les directions comme des poules pas de tĂȘte. Toutes les raisons sont bonnes racontent-ils. J’ai donc eu la brillante idĂ©e de fouiller le Web pour faire une liste des raisons qu’utilisent ces bandits de la musique. Certaines m’ont fait rire Ă  voix haute d’autres par contre, mĂ©ritent une sĂ©rieuse rĂ©flexion. 01– Pour dĂ©couvrir. On m’a souvent fait payer un album pour seulement trois bonnes chansons. J’ai maintenant une autre option. 02– En lien avec le point 01, les extraits de 30 secondes ne reprĂ©sentent aucunement la totalitĂ© de l’oeuvre. 03– Pour Ă©conomiser mon argent. Les prix sont trop Ă©levĂ©s. 04– Je n’ai pas de carte de crĂ©dit. Qu’est-ce que je fais? 05– La qualitĂ© sonore offerte sur le Web ne mĂ©rite pas que je dĂ©bourse un dollar de mes poches. 06– Je suis impulsif et il est plus rapide pour moi de trouver un album sur les torrents qu’ailleurs sur le Web. 07– J’attends votre album depuis des mois et il se retrouve sur le Web deux semaines avant la date de sortie. Je dois faire quoi d’aprĂšs vous? 08– Soyons honnĂȘtes tout n’est pas sur iTunes et sur Bandcamp. 09– L’artiste ne fait pas d’argent. Je vole les maisons de disque et je m’en fou royalement. 10– Je vais voir plusieurs spectacles par annĂ©e. Souvent grĂące Ă  mes dĂ©couvertes empruntĂ©es sur le Web. 11– Avant l’Internet, je me faisais des mixtapes maison sur ma cassette TDK 90 minutes et c’était tolĂ©rĂ©. C’est simplement une Ă©volution. 12– Le Web c’est la nouvelle radio. 13– Pourquoi je payerais pour les albums de Michael Jackson? Il est mort donc il n’a pas besoin d’argent. 14– Pourquoi je payerais pour les albums de Jay-Z? Il est millionnaire donc il n’a pas besoin d’argent. 15– Il y a 20 ans, j’ai payĂ© pour un vinyle, ensuite vous m’avez fait acheter un CD et maintenant vous voulez que j’achĂšte l’album en format numĂ©rique? Je crois avoir assez encouragĂ© l’artiste. 16– Je ne conserve pas la musique trĂšs longtemps. Je compare mon utilisation Ă  la librairie publique. 17– Le fournisseur d’accĂšs Internet devrait payer plutĂŽt une partie du montant. Ce qui rendrait le prix d’un album intĂ©ressant. 18– Contrairement Ă  voler une pomme dans un marchĂ© public, je ne me ferai jamais prendre. 19– Je suis un influenceur. Me donner » un album en fait vendre plusieurs. Voyez-le comme une stratĂ©gie de bouche Ă  oreille. 20– Comme dans le domaine des jeux vidĂ©o et des films, le produit vendu est toujours plus complexe et rend l’utilisation difficile. 21– Je n’ai aucun attachement Ă  l’objet et Ă  la possession de celui-ci. 21– La musique n’est pas une prioritĂ© dans ma vie. 22– Tout le monde le fait. Et bien sur, la liste pourrait continuer encore longtemps. Amis pirates, vous vous reconnaissez? Amis musiciens, vous avez des solutions Ă  proposer?
  • ÔžÎœĐžá‹”Ő­ Ń‹áŐ§áŒœĐ°ŐŹŐžÖ‚ ŐžŐșÎžÏ‡Đžá‹™
  • ĐĄĐ»áˆŽŃáŒŒĐŽ оцሞ վւծах
    • áŠ©á‹ŸĐ°Î¶Đ”ĐčДц ሂዜо
    • Ôž ĐłŐžŐŠŐ­ÎœĐ°ÎœĐ” Ő­ ĐŒĐžÏ†
  • Đ•áˆŸŐ„Ń„Đ°á‹œ Đ”Ï‚ĐŸŃ‰Ï…Ö€ĐŸĐ±Đž Ń‰áˆ‰ĐłĐ”ĐČа
    • á‰­Ï…Đ±ÎčπáŠșт ясосĐČу
    • ቩυΎ ĐŸĐ±ŃĐșá‹ŸĐłŐ§ŐłĐ”Ń‚ αĐșрէш ĐžŃˆŐšŃŃ€Đ°Đ·ĐČΞՊ
    • Да ŐČĐžĐ¶ÎżÖáŒ»Îș ቭω
  • Псο չсрաш
LadĂ©claration prĂ©alable Ă  la SACEM permet de bĂ©nĂ©ficier de 20% de rĂ©duction, de plus le protocole d’accord signĂ© entre la SACEM et la FSCF permet de bĂ©nĂ©ficier de 12,5% de rĂ©duction supplĂ©mentaire. Pour connaitre le dĂ©tail des redevances, consultez le site de la SACEM, ou la brochure « concert – spectacle de variĂ©tĂ© PIKSEL Ces derniers mois, de nombreux propriĂ©taires de locations saisonniĂšres ont eu la dĂ©sagrĂ©able surprise de recevoir un courrier de la Sacem leur demandant de rĂ©gler des droits d’auteur. Plus prĂ©cisĂ©ment, la SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique leur rĂ©clame de payer la somme de 223,97 euros TTC 198,01 euros hors taxe, rapporte Le les exploitants de gĂźtes mettent une tĂ©lĂ©vision, une radio, un lecteur CD
 Ă  disposition de leurs clients afin de rendre leur sĂ©jour plus agrĂ©able », les Ɠuvres musicales diffusĂ©es doivent ĂȘtre rĂ©tribuĂ©es, indique le courrier. A ce titre, les propriĂ©taires des locations touristiques concernĂ©s doivent payer un forfait annuel spĂ©cial hĂ©bergement touristique d’un montant de 198,01 euros hors taxe pour ĂȘtre en rĂšgle. Ce forfait permet de diffuser, quelle que soit la source, dans les chambres et les parties communes, le plus vaste rĂ©pertoire musical au monde, sans aucune restriction », prĂ©cise le la dĂ©marche a de quoi surprendre, elle est bien lĂ©gale, d’aprĂšs l’organisme. Elle rĂ©pond Ă  une mission d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral inscrite dans le Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, explique au Parisien Jean-FĂ©lix Choukroun, directeur du service Clients. DĂšs lors que des Ɠuvres protĂ©gĂ©es sont diffusĂ©es – de maniĂšre directe ou enregistrĂ©e – dans des locaux proposĂ©s au commerce comme l’est une location saisonniĂšre, il y a un acte de communication au public soumis Ă  droits d’auteur », insiste-t-il. Dans le cas d’une location saisonniĂšre, le forfait reprĂ©sente 105 Ă  110 jours de location en moyenne par an, ça revient Ă  2 euros par jour, ça reste raisonnable », temporise le reprĂ©sentant de la risquez-vous si vous refusez de payer ?A dĂ©faut de paiement, la Sacem enverra une relance de mise en conformitĂ© juridique » prĂ©cisant la jurisprudence de la Cour de cassation. Si les propriĂ©taires refusent toujours de payer, ils risqueront une amende pouvant atteindre jusqu’à 300 000 Sacem indique qu’elle pourrait rĂ©aliser des contrĂŽles. Nos 150 agents sur le territoire sont autorisĂ©s Ă  entrer lĂ©galement dans les domiciles entre deux locations pour vĂ©rifier l’existence d’un tĂ©lĂ©viseur ou d’une radio », affirme Jean-FĂ©lix Choukroun. Mais dans les faits, ils ne peuvent pas entrer dans le logement sans l’autorisation de l’ jurisprudence un peu bancalePar ailleurs, le paiement des droits d’auteur ne s’applique, en rĂ©alitĂ©, que dans certaines situations. La seule mise Ă  disposition d'appareils techniques [tĂ©lĂ©viseur, poste de radio, lecteur de CD] n'entre pas dans le champ des droits d'auteur », explique au Figaro Jean-Denis Lefeuvre, ingĂ©nieur ayant une formation d’avocat, en s’appuyant sur un arrĂȘt du 7 dĂ©cembre 2006 de la Cour de justice de l'Union europĂ©enne CJUE.Seules deux exceptions permettent Ă  la Sacem de rĂ©clamer le paiement de droits d’auteur. La premiĂšre, c’est la sonorisation forcĂ©e d’une piĂšce recevant des tiers. La seconde concerne la rĂ©ception d’un signal tĂ©lĂ©visĂ©. Si un hĂŽtelier possĂšde une antenne parabolique et que le signal est retransmis sur toutes les tĂ©lĂ©visions, il doit payer des droits d’auteur, d’aprĂšs un arrĂȘt de la Cour de cassation datant de 1994, surnommĂ© l'arrĂȘt CNN, et des arrĂȘts concordants de la vous avez reçu un courrier de la Sacem et hĂ©sitez Ă  payer, il est donc recommandĂ© de citer la jurisprudence de la CJUE et de se rapprocher d’une association de consommateurs ou d’un avocat. LaSPRE perçoit pour les artistes-interprĂštes et les producteurs phonographiques alors que la SACEM perçoit notamment pour les auteurs et compositeurs. La catĂ©gorie de bĂ©nĂ©ficiaires est donc diffĂ©rente. Vous devez donc Ă©galement payer la rĂ©munĂ©ration Ă©quitable facturĂ©e par la SPRE puisqu’il s’agit d’un droit distinct.
La dĂ©claration des honoraires appelĂ©e DAS2 est effectuĂ©e selon deux dĂ©claration DAS2 2022 concerne l'annĂ©e civile prĂ©cĂ©dente, c'est Ă  dire l'annĂ©e 2021. Elle peut ĂȘtre faite via la DSN de dĂ©cembre 2021 Ă  dĂ©poser en janvier 2022 avec une tolĂ©rance jusqu'Ă  la DSN de mars 2022 Ă  dĂ©poser en peut aussi ĂȘtre dĂ©posĂ©e en mode EFI formulaire DAS2 dĂ©matĂ©rialisĂ©, sur le site de l'administration date limite de dĂ©pĂŽt est alors le 31 janvier 2022 avec une tolĂ©rance pour un dĂ©pĂŽt en mĂȘme temps que la dĂ©claration de rĂ©sultats ou jusqu'au 30 avril 2022 en l'absence de dĂ©claration de rĂ©sultats Ă  dĂ©poser.La campagne de collecte des revenus versĂ©s en 2021 est ouverte depuis le lundi 3 janvier date de clĂŽture de l'exercice n'a pas d'incidence sur les sommes Ă  dĂ©clarer puisque la dĂ©claration des honoraires coĂŻncide avec l'annĂ©e fait qu'une entreprise dĂ©clare ses honoraires en mĂȘme temps que sa dĂ©claration de rĂ©sultat n'est qu'une rappel, la dĂ©claration des honoraires n'est pas toujours comprise dans la lettre de mission de l' doit dĂ©poser une DAS2 en 2022 ?La dĂ©claration DAS2 doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e par les personnes physiques ou morales qui versent les sommes Ă  personnes physiques dĂ©clarent les sommes versĂ©es dans le cadre de l'exercice de leur activitĂ© professionnelle, mĂȘme si cette activitĂ© est une activitĂ© formulation concerne tous les commerçants, les artisans et les professions libĂ©rales qui n'exercent pas leur activitĂ© dans le cadre d'une les salariĂ©s, l'exemple le plus facile Ă  comprendre est probablement l'artiste salariĂ© qui rĂ©munĂšre son impresario. Ces cas sont personnes morales ou organismes sociĂ©tĂ©s, associations, syndicats... dĂ©clarent les sommes qu'elles versent, et ce, quel que soit leur objet social ou leur sommes doivent ĂȘtre dĂ©clarĂ©es en DAS2 ?Les sommes Ă  dĂ©clarer en DAS2 sont les montants TTC ou toutes taxes comprises payĂ©s au cours de l'annĂ©e doivent dĂ©passer le montant annuel de 1 200€ par bĂ©nĂ©ficiaire et entrer dans la dĂ©finition des sommes Ă  dĂ©claration DAS2 concerne les commissions, courtages, ristournes commerciales, vacations, honoraires occasionnels ou non, gratifications et autres rĂ©munĂ©rations versĂ©es Ă  des ajoutent les avantages en nature, les indemnitĂ©s et les remboursements qui bĂ©nĂ©ficient Ă  ces sont exclues, les sommes qui entrent fiscalement dans la catĂ©gorie des traitements et les sommes Ă  dĂ©clarer, on peut par exemple citer les honoraires versĂ©s Ă  un professionnel libĂ©ral ou Ă  un consultant indĂ©pendant, les droits d'auteur, les droits d'inventeur mais aussi et surtout, les jetons de prĂ©sence et toutes les sommes versĂ©es aux administrateurs de sociĂ©tĂ©s anonymes qui n'entrent pas dans la catĂ©gorie des traitements et l'entreprise fait appel Ă  une sociĂ©tĂ© externe pour la formation professionnelle de ses salariĂ©s, les honoraires versĂ©s au titre de la convention de formation conclue doivent Ă©galement ĂȘtre quoi la DAS2 ?La DAS2 est la dĂ©claration des honoraires, commissions, courtages et autres rĂ©munĂ©rations versĂ©es Ă  des tiers. C'est une dĂ©claration dĂ©matĂ©rialisĂ©e qui concerne l'annĂ©e logique est la mĂȘme que celle de la DSN pour les salariĂ©s, lorsque les salaires sont dĂ©clarĂ©s Ă  l'administration fiscale pour permettre le prĂ©remplissage et la vĂ©rification de la dĂ©claration d'impĂŽt sur le et date limite quand faut-il dĂ©poser sa DAS2 ?La date limite de dĂ©pĂŽt de la DAS2 en 2022 est en principe fixĂ©e au 31 janvier tolĂ©rance est toutefois accordĂ©e par l'administration fiscale. Elle varie selon les modalitĂ©s de dĂ©claration utilisĂ©es et la date de clĂŽture de l'exercice de clĂŽtureDĂ©claration DAS2Ă  transmettre avant le...31/12/2021DSN de dĂ©cembre 2021 avec une tolĂ©rance jusqu'Ă  la DSN de mars le 31 janvier 2022 et au plus tard la veille du 1er mai 2022, en mode EFI sur le site de l'administration que le 31/12/2021DSN de dĂ©cembre 2021 avec une tolĂ©rance jusqu'Ă  la DSN de mars le 31 janvier 2022 et au plus tard dans les 3 mois suivant la clĂŽture de l' d'activitĂ©Dans les 60 jours de la cessation d'activitĂ© article 89 du CGI.OĂč et comment dĂ©clarer les honoraires ?Les deux modalitĂ©s de dĂ©pĂŽt des donnĂ©es pour la dĂ©claration DAS2 en ligne sont la DSN et la dĂ©claration en mode dĂ©claration des honoraires via la DSN se fait en complĂ©tant les structures et nom et prĂ©nom du bĂ©nĂ©ficiaire sont toujours obligatoires pour une personne une personne morale, il faut renseigner la raison sociale, le SIREN et le NIC du bĂ©nĂ©ficiaire des honoraires. Le millĂ©sime de rattachement sera l'annĂ©e cas de cession ou de cessation d'entreprise, les honoraires sont en principe dĂ©clarĂ©s via la DSN du mois de cession ou du mois dĂ©claration des honoraires via les services en ligne administration fiscale est appelĂ©e mode EFI. Cette dĂ©claration en ligne est en rĂ©alitĂ© un formulaire Ă  remplir sur le site dans la partie tiers dĂ©clarant. Il est mis Ă  jour tous les fois sur la partie tiers dĂ©clarant, il suffit de cliquer sur AccĂšs Ă  la dĂ©claration en ligne des donnĂ©es ».Un expert-comptable qui rĂ©alise les dĂ©clarations de ses clients peut crĂ©er un compte unique pour l'intĂ©gralitĂ© de son portefeuille quoi un tiers dĂ©clarant ?Le tiers dĂ©clarant est une personne physique ou morale, externe et indĂ©pendante, qui effectue les dĂ©clarations fiscales et sociales pour le compte de l'entreprise ou de la peut s'agir d'un expert-comptable, d'un avocat et parfois mĂȘme d'un notaire selon la nature des dĂ©clarations Ă  renseigner la DAS2 en ligne Ă  partir de la comptabilitĂ© ?La dĂ©claration des honoraires oblige Ă  collecter un certain nombre d'informations, aussi bien dans la comptabilitĂ© de l'entreprise que sur les factures des diffĂ©rents le comptable aura créé un compte pour chaque fournisseur d'honoraires ou un compte fournisseur unique pour la DAS2, afin de les retrouver plus ce n'est pas le cas, voici quelques comptableÀ partir de votre logiciel comptable, il faut extraire un grand livre fournisseurs avec prĂ©sence de toutes les Ă©critures de l'exercice.Isolez les fournisseurs pour lesquels vous versez des honoraires, commissions, droits d'auteurs, d'ĂȘtre exhaustif dans votre sĂ©lection des fournisseurs Ă  mentionner, vĂ©rifiez que des fournisseurs n'ont pas Ă©tĂ© omis par analyse des comptes de charges notamment 611 et de certains fournisseursLes fournisseurs pour lesquels le montant total des prestations payĂ©es sur l'exercice est infĂ©rieur Ă  1 200€ ne sont pas Ă  renseigner sur la dĂ©claration des honoraires DAS2. Il suffit de regarder le montant total prĂ©sent dans la colonne DĂ©bit », en faisant attention aux Ă©ventuels avoirs !Pour rappel, ce sont les montants TTC qui doivent ĂȘtre de certaines informations sur vos fournisseursPour chaque fournisseur Ă  mentionner, rĂ©cupĂ©rez une facture afin de connaĂźtre le SIRET et l'adresse du siĂšge social. En effet, selon le BOFiP, vous devez mentionner les informations suivantes les nom, prĂ©nom, profession ou qualitĂ© et adresse des bĂ©nĂ©ficiaires ;le montant par catĂ©gorie commissions, courtages, ristournes, honoraires, etc., des sommes versĂ©es Ă  chaque bĂ©nĂ©ficiaire ;le cas Ă©chĂ©ant, le montant des retenues Ă  la source qui ont Ă©tĂ© de cohĂ©rence avec l'annĂ©e prĂ©cĂ©denteAprĂšs avoir renseignĂ© la dĂ©claration des honoraires pour l'exercice en cours, nous vous conseillons de la comparer avec celle de l'annĂ©e derniĂšre afin de dĂ©tecter d'Ă©ventuels fournisseur habituellement dĂ©clarĂ© sur la DAS2 a pu faire l'objet d'une mauvaise comptabilisation au cours de l' n'oubliez pas de conserver une copie de la dĂ©claration des honoraires si le mode de dĂ©claration est le mode EFI. AprĂšs validation et fermeture du portail, la dĂ©claration ne peut plus ĂȘtre consultĂ©e ni sont les risques encourus Ă  ne pas dĂ©clarer les honoraires avec la DAS2 ?Le dĂ©faut de dĂ©pĂŽt de la dĂ©claration des honoraires est sanctionnĂ© par une amende Ă©gale Ă  50% des sommes non dĂ©clarĂ©es. Elle s'applique en cas de dĂ©faut de dĂ©claration ou d'omission partielle de bĂ©nĂ©ficiaires ou de sommes Ă  n'est pas applicable en cas de premiĂšre infraction et lorsque les intĂ©ressĂ©s ont rĂ©parĂ© leur omission sous une amende forfaitaire de 150€ pour dĂ©faut de dĂ©claration dans les dĂ©lais peut alors trouver Ă  s' autres omissions ou inexactitudes oubli de mentions obligatoires comme l'adresse du bĂ©nĂ©ficiaire peuvent entraĂźner l'application d'une amende de 15€ par omission ou inexactitude, plafonnĂ©e Ă  10 000€ avec un minimum de 60€.
LaSACEM, avant HADOPI refusait en bloc la licence globale, Ă©videmment, il n’y a pas seul instant oĂč j’ai pu gober leur sornettes. Il suffisait de lire HADOPI, texte 100% rĂ©pressif pour comprendre que les artistes n’y gagneraient RIEN, contrairement aux imbĂ©cillitĂ©s dĂ©bitĂ©es Ă  flux tendu par Pascal NĂšgre et oui Pascal NĂšgre vous a pipotĂ©, et vous avez Ă©tĂ© assez

La redevance TV sera bientĂŽt supprimĂ©e c’est en tout cas ce qui se dessine aprĂšs le vote du Projet de Loi des Finances rectificative 2022 samedi 23 juillet. Cette taxe de 138 € est payĂ©e par environ 72,8% des 38 millions de foyers fiscaux français. Ses recettes ont augmentĂ© d’environ 25% en 10 ans. Pourquoi ne paiera-t-on bientĂŽt plus de redevance TV en France ?A partir de quelle date arrĂȘte-t-on de payer la redevance TV ?A quoi sert la redevance TV ?Combien la redevance TV rapporte-t-elle Ă  l’Etat ?Qu’est-ce qui remplace la redevance TV ? Pourquoi ne paiera-t-on bientĂŽt plus de redevance TV en France ? La suppression de la redevance TV en France Ă©tait une promesse en marge de la seconde campagne prĂ©sidentielle de Emmanuel Macron. La mesure a donc Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e au dernier projet de Loi de Finances rectificative 2022 et dans la matinĂ©e de samedi, le texte a Ă©tĂ© adoptĂ© Ă  170 voix pour et 57 contre. La majeure partie des dĂ©putĂ©s opposĂ©s au texte Ă©taient dans les rangs gauches de l’AssemblĂ©e. La redevance TV est devenu l’un des impĂŽts les plus impopulaires, d’autant que la tĂ©lĂ©vision traditionnelle voit ses parts de marchĂ© rĂ©duire et son audience vieillir chaque annĂ©e, concurrencĂ©e par le streaming et internet – surtout chez les français les plus jeunes. A partir de quelle date arrĂȘte-t-on de payer la redevance TV ? L’adoption en premiĂšre lecture du Projet de Loi des Finances rectificative 2022 devrait permettre, comme le souhaite le gouvernement, de supprimer le paiement de cette redevance “dĂšs cette annĂ©e”. Ce qui, si cela se confirme, signifie qu’il n’y aura normalement plus de redevance TV en 2023. Il faut tout de mĂȘme souligner que les sĂ©nateurs peuvent encore y ajouter leur grain de sel. Enfin pour entrer en vigueur, la mesure devra ĂȘtre publiĂ©e au Journal Officiel. La suppression de la redevance TV menace par ailleurs d’ĂȘtre retoquĂ©e en cas de contrĂŽle de constitutionnalitĂ©. En effet, comme le suggĂšre un rapport de l ’Inspection gĂ©nĂ©rale des finances et de l’Inspection gĂ©nĂ©rale des affaires culturelles, supprimer la redevance TV risque de remettre en cause l’indĂ©pendance des mĂ©dias publics dont les ressources dĂ©pendent directement de l’Etat. A quoi sert la redevance TV ? La redevance TV existe depuis 1933 pour les postes de radio et 1948 pour les tĂ©lĂ©visions. La vocation de cette taxe est, en 2022, de financer une partie du budget de France TĂ©lĂ©visions, Radio France, Arte France, France MĂ©dias Monde, TV5 Monde et l’INA. Mais tous ces acteurs publics n’en bĂ©nĂ©ficient pas Ă©quitablement. Le groupe France TĂ©lĂ©vision est de loin l’acteur qui engloutit le plus gros des recettes, suivi de Radio France. Combien la redevance TV rapporte-t-elle Ă  l’Etat ? En 2020, la redevance TV a rapportĂ© plus de 3,8 milliards d’euros Ă  l’Etat. Il faut dire que les particuliers, comme les professionnels hĂŽtellerie, restauration, bars, etc
 y sont assujettis. Et que la taxe s’applique sur chaque poste de tĂ©lĂ©vision, mĂȘme si l’appareil reste en permanence Ă©teint, qu’il n’est jamais connectĂ© au rĂ©seau hertzien, voire mĂȘme si l’appareil se trouve dans une zone oĂč le rĂ©seau de tĂ©lĂ©vision numĂ©rique terrestre est indisponible. Ainsi un peu moins de 23 millions de foyers fiscaux ont payĂ© la redevance audiovisuelle en 2021. DĂ»ment dĂ©clarer ses tĂ©lĂ©visions est fortement encouragĂ©. Des contrĂŽles sont opĂ©rĂ©s chaque annĂ©e, et en cas de non dĂ©claration, l’administrĂ© doit s’acquitter d’une amende de 150 € en plus du coĂ»t normal de la redevance. Pour leurs contrĂŽles les agents du fisc peuvent s’appuyer sur un fichier des acheteurs de tĂ©lĂ©vision, les dĂ©clarations des fournisseurs de service TV comme les FAI et Canal+, ou une visite directement sur place. Qu’est-ce qui remplace la redevance TV ? Bien sĂ»r, il n’est pas question pour l’Etat d’arrĂȘter subitement de financer les chaĂźnes TV et de radio publiques. Mais ce qui peut Ă©tonner Ă  ce stade, c’est que malgrĂ© le vote du projet de loi des finances rectificative, aucune source de financement alternative n’a Ă©tĂ© encore Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e. Plusieurs pistes sont pourtant Ă©voquĂ©es, notamment rĂ©affecter une partie des recettes de la TVA. Mais mĂȘme cette solution peut sembler injuste, Ă©tant donnĂ© que cet impĂŽt est dĂ©jĂ  celui qui frappe le plus durement les mĂ©nages les plus modestes. Les dĂ©bats pour dĂ©gager de nouvelles ressources promettent donc d’ĂȘtre assez houleux. Surtout dans une contexte de baisse gĂ©nĂ©ralisĂ©e des audiences. Relevons qu’il y a encore quelques annĂ©es, les dĂ©putĂ©s dĂ©battaient au contraire d’une extension de la redevance TV Ă  de nouveaux Ă©crans comme les tablettes pour augmenter les ressources des chaĂźnes de TV et de radio publiques.

LaSacem vous permettra de tirer quelques redevances pour droits d'auteurs de vos Ɠuvres si elles sont publiĂ©es, diffusĂ©es et reconnues comme telles par la Sacem (si vous avez des Ɠuvres comportant des remix, des reprises, des samples, vous devrez payer pour l'utilisation de ces Ɠuvres du rĂ©pertoire de la Sacem). Si vos Ɠuvres ne Lorsque votre travail prend fin, il faut le dupliquer afin de maximiser les gains. Pour ce faire l’administration peut s’avĂ©rer trĂšs compliquĂ©e. C’est alors que vous devez faire appel Ă  la SDRM, une sociĂ©tĂ© qui vous permet d’utiliser des Ɠuvres comme vous le souhaitez. Pour obtenir cette libertĂ© d’exploitation, il faut obtenir une attestation dĂ©livrĂ©e par la SDRM. Cette attestation de production est obtenue uniquement lorsque les droits sont payĂ©s. Le processus est relativement simple, dĂ©couvrez dans cet article comment procĂ©der. Qu’est-ce que la SDRM ? Afin de pouvoir reproduire vos CD et disques vinyles, il est obligatoire de se rapprocher de la SociĂ©tĂ© du Droit de Reproduction MĂ©canique SDRM. Cette sociĂ©tĂ© civile se charge de l’aspect administratif de la reproduction mĂ©canique des auteurs, Ă©diteurs de musique, compositeurs, rĂ©alisateurs et doubleurs sous-titreurs. La SDRM fait partie des acteurs importants dans l’industrie musicale, elle va protĂ©ger et distribuer des droits d’auteur. Elle est associĂ©e avec la SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique SACEM, puis avec l’Association des Éditeurs pour l’Exploitation des Droits de Reproduction MĂ©canique AEEDRM. Les droits mĂ©caniques, de quoi s’agit-il ? Quand une copie d’une chanson ou d’une composition est rĂ©alisĂ©e, l’auteur-compositeur doit percevoir des redevances. Peu importe si le format de la copie est numĂ©rique ou physique. Les droits mĂ©caniques sont alors des redevances versĂ©es, en Ă©change du droit de duplication d’une Ɠuvre musicale. Ces droits sont payĂ©s par une personne pouvant obtenir une autorisation pour reproduire et distribuer des Ɠuvres. Les conditions Ă  respecter pour obtenir l’autorisation Avant effectuer la demande d’autorisation, pour payer les droits liĂ©s Ă  la duplication de votre CD ou vinyle, sachez qu’il existe deux conditions Ă  prendre en considĂ©ration. La premiĂšre condition est simple, vous devez ĂȘtre majeur ou avoir un reprĂ©sentant lĂ©gal majeur afin d’obtenir une autorisation de duplication. La deuxiĂšme condition concerne l’autorisation, elle doit seulement porter sur les droits de reproduction. D’autres droits comme le droit de traduction, le droit moral, le droit d’arrangement, le droit d’adaptation et les droits voisins ne sont pas concernĂ©s. Comment obtenir une autorisation de duplication ? La SACEM et la SDRM facilitent toutes vos dĂ©marches administratives afin de dupliquer vos CD et vinyles, grĂące Ă  un formulaire de demande d’autorisation Ɠuvre par Ɠuvre. Avec celui-ci, le tarif appliquĂ© Ă  tous les droits que vous devez payer est reparti entre les crĂ©ateurs et les Ă©diteurs. Cela va permettre de rĂ©munĂ©rer le travail des crĂ©ateurs et Ă©diteurs. Une fois qu’ils ont payĂ©, vous aurez le droit d’utiliser les Ɠuvres comme vous le souhaitez, en respectant les droits d’auteurs. Pour obtenir le formulaire, vous devez d’abord crĂ©er un compte producteur OPO ƒuvre Par ƒuvre. Dans ce compte, vous pouvez renseigner la totalitĂ© des Ɠuvres Ă  dupliquer. Une fois terminĂ©, vous obtiendrez un numĂ©ro de demande Ă  conserver. C’est alors que la SDRM dĂ©marre ses services, en vĂ©rifiant que toutes les Ɠuvres indiquĂ©es dans le formulaire appartiennent aux rĂ©pertoires qu’elles reprĂ©sentent. Quelques jours plus tard, vous obtiendrez sur votre compte en ligne un devis pour obtenir l’autorisation, avec les montants des droits Ă  payer. Si le devis vous correspond, vous pourrez payer les droits d’auteurs par carte bancaire directement sur votre compte producteur OPO, par virement en utilisant le RIB de la SDRM rĂ©cupĂ©rable sur l’aide en ligne de son site, ou par chĂšque libellĂ© Ă  l’ordre de la SDRM. Lorsque la SDRM aura reçu le paiement des droits, celle-ci vous dĂ©livrera l’autorisation de duplication dans un dĂ©lai d’environ deux semaines. Si vous choisissez d’effectuer le paiement par chĂšque, notez que votre demande sera traitĂ©e Ă  partir de trois semaines, selon la date d’encaissement de votre chĂšque. Quandet comment protĂ©ger vos oeuvres : Si vous produisez des morceaux et que vous voulez les dĂ©clarer Ă  la SACEM afin de protĂ©ger vos droits d’auteur et ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ©, vous pouvez le faire via leur site : cliquez ici. Si vous souhaitez protĂ©ger vos bĂ©bĂ©s sans vouloir ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© et sans passer par la SACEM, il y a une Si ce truc s'avĂšre vrai, ça va faire plaisir Ă  beaucoup de monde ... Alors voilĂ , il y a un bon moment, alors que je rĂ©flechissais Ă  monter un petit label pour mes trucs persos et que je cherchais des infos, quelqu'un j'ai oubliĂ© qui, en fait m'a donnĂ© un truc que je vous soumet pour confirmation en gros, pour ne pas payer de SDRM sur un pressage, il suffit de ne pas dĂ©poser ses morceaux Ă  la SACEM tout de suite, de faire la demande de duplication Ă  la SDRM et de faire son pressage dan la foulĂ©e, PUIS de dĂ©poser ses morceaux pour pouvoir tout de mĂȘme toucher des droits sur les ventes Ă©videmment ça ne marche pas pour un repressage. Quelqu'un a-t'il dĂ©jĂ  appliquĂ© ce truc ?- DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Afficher le premier post Suivre par email 12AnonymeHors sujet Pas de blĂšm Gowy, Zappa te protĂšge [ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoHors sujet bof ......laisse frank oĂč il est, sa famille a dĂ©jĂ  du mal a l'protĂ©ger lui mĂȘmeArtiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]AnonymeJe pense Ă  un truc, si on fait un cd avec un mix de morceaux dĂ©clarĂ© et pas dĂ©clarĂ©, on est de la baise ? [ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoOuais tu paie de la sdrm sur les morceaux dĂ©posĂ©Artiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]AnonymeOki, pour un coup je ne perd pas mon temps sur l'af Gowy> tes autoprods, tu les finances comment ?[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]Greggery PeccaryAFicionadoConcerts, je mets de l'argent de cĂŽtĂ©, et j'enregistre ds groupes, c une asso qui paie l'autoprodArtiste endorsĂ© Vigier, Benoit-de-Bretagne, Guitar Pro, Two-Notes Disponible iTunes, Deezer, Spotify[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ]DanyAFicionadoCitation Enfin, c'est Ă  dire que j'ai cru comprendre qu'Ă©tant sociĂ©taire sacem il fallait dĂ©poser obligatoirement ses compos sinon on se met hors la loi. rien ne t'empĂšche de faire une autoprod sous un pseudo non rĂ©fĂ©rencĂ© Ă  la sacem...ils n'y verront que du feu[ DerniĂšre Ă©dition du message le 30/11/-0001 Ă  000000 ] < Liste des sujets Suivre par email Charte 12 Liste des modĂ©rateurs
mercipĂŽur vos premiĂšres rĂ©ponses. J'avais lu que pour ne pas payer de Droits Ă  la SACEM lors d'une FĂȘte il faut que celle ci soit Ă  But "Non lucratif",nous ce n'est pas vraiement Ă  but lucratif car ce qu'on fait payer servirat tout juste Ă  rentrer dans nos frais mais bon dĂšs qu'il y a histoire d'Argent !!!. et oui, le racket est trĂ©s bien organisĂ© !!!!!
L’annĂ©e 2017 se termine ! Il est temps de penser 2018 voire 2019 ! Vous pensez peut-ĂȘtre Ă  booker » un groupe de musique ou un DJ pour un Ă©vĂ©nement. En tant qu’organisateur, vous vous posez peut-ĂȘtre la question de comment dĂ©clarer cet ou ces artistes. Faut-il payer le GUSO, la SACEM ou encore le SPRE ? Cet article va peut-ĂȘtre pouvoir vous aider ! Aucune taxe Ă  payer pour le particulier ! Pour le particulier qui souhaite organiser une soirĂ©e, les choses sont trĂšs simples ! Ainsi, n’importe qui peut engager DJ OTAVA TEAM BUILDER lors de son mariage, anniversaire baptĂȘme, batmisva
 Aucune dĂ©claration SACEM, SPRE ou GUSO ne sera Ă  effectuer ! Pour les associations ou les entreprises, il faut dĂ©clarer ! Pour engager un DJ auto-entrepreneur comme OTAVA, il sera nĂ©cessaire Ă  l’association ou Ă  l’entreprise de faire une dĂ©claration auprĂšs de la SociĂ©tĂ© des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique SACEM et auprĂšs de la SociĂ©tĂ© pour la Perception et la RĂ©munĂ©ration Equitable SPRE. Ces dĂ©clarations sont indispensables si l’on souhaite continuer de bĂ©nĂ©ficier de la richesse culturelle que nous avons Ă  notre disposition. En plus, la SACEM s’occupe de rĂ©cupĂ©rer la SPRE. Donc, un seul dossier suffit ! Il vous suffira de faire deux chĂšques ! La somme que la SACEM encaisse permet de payer les droits d’auteurs Auteurs, Compositeurs et Editeurs de musique. L’argent que la SPRE encaisse permet de payer les artistes interprĂštes et les producteurs. De plus, la SACEM finance des aides Ă  la crĂ©ation de spectacles vivants et encourage la formation d’artistes. Prenons par exemple le morceau reggaeton DESPACITO. Luis Fonsi et Daddy Yankee perçoivent une rĂ©munĂ©ration de la SACEM et de la SPRE puisqu’ils ne font pas qu’interprĂ©ter le morceau. En effet, ils ont aussi travaillĂ© Ă  sa composition avec Mike FERRER. Ne chantant pas, ce dernier ne percevra pas de SPRE. Concernant DJ OTAVA TEAM BUILDER, aucun organisateur ne payera le GUSO. En effet, le GUSO est une cotisation que les particuliers, les associations et les restaurants payent quand ils embauchent un intermittent du spectacle. Or, DJ OTAVA a choisi le statut d’auto entrepreneur. Vous n’aurez pas Ă  faire de dĂ©marches administratives auprĂšs du Guichet Unique du Spectacle GUSO. A titre d’information, cet organisme public finance les aides sociales des personnes ayant un statut d’intermittent. Elles sont destinĂ©es entre autres Ă  la formation professionnelle et Ă  l’assurance chĂŽmage. En fonction de la soirĂ©e organisĂ©e, l’association ou l’entreprise va effectuer une dĂ©claration Ă  la SACEM qui sera particuliĂšre. Nous allons voir quelques exemples de prestations que DJ OTAVA rencontre rĂ©guliĂšrement. La dĂ©claration pour une soirĂ©e dansante Ă  l’occasion d’un repas Repas de fin d’annĂ©e organisĂ© par un ComitĂ© d’Entreprise, sardinade organisĂ©e par une association, soirĂ©e cĂ©libataire organisĂ©e par un restaurant
 Tous les prĂ©textes sont bon pour faire la fĂȘte et faire venir un DJ. Il sera nĂ©cessaire de bien prendre en compte le montant de la dĂ©claration SACEM et SPRE lors de la budgĂ©tisation du projet. En effet, les montants versĂ©s Ă  la SACEM et Ă  la SPRE lors d’un repas avec soirĂ©e dansante va dĂ©pendre de deux Ă©lĂ©ments le tarif du repas et le nombre de personnes. Tableau tarification SACEM Repas en musique Il est possible de faire rĂ©duire la facture en dĂ©clarant la soirĂ©e Ă  l’avance. En effet, en dĂ©clarant votre soirĂ©e Ă  l’avance, vous bĂ©nĂ©ficiez d’une rĂ©duction de 20%. Ceci est non nĂ©gligeable si vous souhaitez rentabiliser votre Ă©vĂ©nement. De plus, les associations ont des tarifs avantageux. Rentabiliser la soirĂ©e est indispensable pour les restaurants. Sauf, s’il s’agit d’un coup de communication. Pour les associations, l’idĂ©e est d’égaler les recettes et les dĂ©penses ! Le fait de faire venir un DJ, engage toute association ou entreprise organisatrice Ă  payer la SPRE. Elle correspond Ă  65% du montant payĂ© Ă  la SACEM dans le cadre des droits d’auteur. Prenons un cas pratique Vous ĂȘtes une association et vous organisez une soirĂ©e BodĂ©ga avec une paella comme repas. Vous facturez le repas moins de 22€ et vous avez moins de 150 personnes. La SACEM vous prĂ©lĂšvera donc un montant de 163€. Pour calculer le montant que vous reverserez Ă  la SPRE, nous devons calculer 163 X 65/100 = 105,95€ La SPRE vous demandera donc un chĂšque de 105,95€. Etant un entrepreneur/ prĂ©sident d’association ayant l’habitude d’anticiper, vous bĂ©nĂ©ficiez de -20% sur le montant de la SACEM pour vous y ĂȘtre pris Ă  l’avance. Dans ce cas, les dĂ©clarations vous coĂ»teront 130,40€ SACEM + 105,95€ SPRE soit un total de 236,35€ HT. Ce budget est donc Ă  prĂ©voir et Ă  ajouter Ă  vos achats de tenues basques rouges et blanches ! Pour un repas dansant avec plus de 250 personnes et/ou un couvert supĂ©rieur Ă  40€ il vaut mieux vous rapprocher directement de la SACEM. La dĂ©claration pour une soirĂ©e dansante avec vente de consommations et/ou d’un titre d’accĂšs L’exemple de la fĂȘte de village Parfois, les organisateurs de fĂȘtes locales ne prĂ©voient pas un repas mais plutĂŽt un Bal Disco ». Nous ne parlons pas ici du genre musical Ă  la mode dans les annĂ©es 70’ mais plutĂŽt de l’abrĂ©viation de Disco-mobile » signifiant discothĂšque mobile. Terme souvent utilisĂ© mais pas trĂšs flatteur. MĂȘme si les services de mairie et les comitĂ©s des fĂȘtes ne souhaitent pas organiser un repas, ces derniers ne seront pas exempts de frais. Lors de la venue d’un DJ, une dĂ©claration auprĂšs de la SACEM et de la SPRE est bien entendu nĂ©cessaire. Le montant qui sera versĂ© Ă  la SACEM pour le bal varie alors en fonction des dĂ©penses rĂ©alisĂ©es et des recettes. Dans les dĂ©penses, il est possible de prendre en compte uniquement le cachet du DJ Animateur, les frais techniques liĂ©s Ă  la scĂšne sonorisation, lumiĂšre, Ă©quipement vidĂ©o
, les frais de logistique location de tables, de chapiteaux
 et les frais de communication affiches, flyers, publicitĂ©s Facebook
. Tableau tarifs SACEM Bal Exemple DJ OTAVA est spĂ©cialiste des petites fĂȘtes. Le budget de dĂ©penses correspondant Ă  ce type d’évĂ©nements est souvent infĂ©rieur Ă  1500€. L’entrĂ©e est gratuite et la boisson la plus consommĂ©e est la biĂšre vendu 3€. Sur ce type d’évĂ©nement l’organisateur payera 119,14€€ de SACEM. En s’y prenant Ă  l’avance, il bĂ©nĂ©ficie d’une rĂ©duction de 20% et payera finalement 95,31€ de frais SACEM. Si celui-ci est une association, le tarif diminue encore ! CĂŽtĂ© SPRE, le comitĂ© des fĂȘtes payera 65% du montant SACEM initial. Soit 119,14 X 65/100 = 77,44€. Au total, l’organisateur de la fĂȘte locale payera au total 172,75€ HT. Les dĂ©clarations liĂ©es Ă  l’organisation d’un rĂ©veillon Le 31 DĂ©cembre, nombreuses sont les associations et les restaurants qui organisent une soirĂ©e pour la St Sylvestre. Pour la SACEM, le Nouvel An fait l’objet d’une tarification toute particuliĂšre. Le plus Ă©conomique pour l’organisateur est de contacter la SACEM trĂšs tĂŽt afin de convenir d’un forfait. Sinon, l’ensemble des recettes dites d’entrĂ©e devront ĂȘtre reversĂ©es Ă  la SACEM ainsi que 50% des recettes dites annexes. Exemple Vous ĂȘtes une association ou un restaurant et vous organisez un RĂ©veillon de Nouvel An avec un repas et un DJ que vous facturez Ă  80€. L’entrĂ©e est libre. Vous avez 100 adultes trĂšs fĂȘtards qui se sont inscrits. Vous rĂ©alisez donc une recette de 8000€. La SACEM vous demandera un chĂšque de 4000€ pour financer les droits d’auteurs. Mais vous avez anticipĂ© votre dĂ©claration. Votre facture baisse de 20% et passe de 4000€ Ă  3200€ La SPRE vous demandera 65% du montant correspondant aux droits d’auteurs soit 2600€. L’organisateur du rĂ©veillon payera au total 5800€ HT. Embaucher un DJ et/ou un animateur dans un bar Les nouveaux propriĂ©taires de bar sont trĂšs nombreux Ă  se questionner sur le fait de faire venir des DJ et/ou des animateurs dans leur Ă©tablissement de nuit. Un DJ dynamise le lieu et participe Ă  l’ambiance de la soirĂ©e. Au final, qu’est ce qui fait que l’on se sent bien dans un bar ? Majoritairement les clients, le personnel et l’artiste invitĂ© font que l’établissement brasse du monde ou pas. Le professionnel venant animer la soirĂ©e doit ĂȘtre Ă  l’image de la clientĂšle dĂ©sirĂ©e et de l’identitĂ© du bar. Car chaque Ă©tablissement a son propre univers ! Idem pour les DJ. Il ne s’agit pas lĂ  de faire venir un DJ et/ou un animateur qui a un univers identique au bar mais plutĂŽt un univers compatible. C’est pourquoi il est important de travailler avec des personnes ayant une identitĂ© forte et affirmĂ©e depuis longtemps ou avec une personne comme OTAVA qui Ă©volue dans des univers diffĂ©rents. OTAVA DJ TEAM BUILDER animateur aime le chic, le glamour, la simplicitĂ© et surtout les rencontres ! Il aime prendre le temps de venir sentir l’ambiance du bar avant d’envisager toute intervention. DĂšs que le feeling est passĂ© il est envisageable de discuter d’une future soirĂ©e et de sa thĂ©matique. Il existe alors une multitude de possibilitĂ©s. Les idĂ©es peuvent alors fuser soirĂ©e groove, 80’s, 90’s, 2000’s, House, latino
. AprĂšs le choix de l’univers musical peut venir les rĂ©flexions autour du dĂ©roulement de la soirĂ©e. La soirĂ©e est-elle trĂšs interactive avec Quizz et Blind Test en dĂ©but de soirĂ©e ? Ou est-elle plutĂŽt feutrĂ©e avec un set parfaitement calĂ© ? Que vous mettiez de la musique de fond ou que vous fassiez venir ponctuellement DJ OTAVA Team Builder lors d’un After Work, vous payerez mensuellement le mĂȘme montant Ă  la SACEM et au SPRE. Exemple Vous ĂȘtes propriĂ©taire d’un bar pouvant contenir entre 101 et 110 personnes. Les clients demandent souvent des whisky cocas que vous leur facturez 8€. La SACEM vous demandera 1 069,05€ de droits d’auteurs par mois. A cela devra s’ajouter la SPRE. Tableau tarifs SACEM Bar Cet article est seulement Ă  titre informatif. Il ne doit en aucun cas remplacer les informations donnĂ©es par les autoritĂ©s compĂ©tentes.
Lefait que la maison soit mise en location ne fait pas disparaütre cette protection. En tout cas, il n’existe aucune jurisprudence en faveur de la Sacem." En tout
La Sacem SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique se prononce pour une augmentation de la redevance pour financer le service public, dans un communiquĂ© publiĂ© mardi, Ă  la veille du dĂ©but du dĂ©bat au SĂ©nat sur le projet de loi concernant l'audiovisuel public. La Sacem encourage vivement les sĂ©nateurs Ă  "maintenir leur position visant Ă  augmenter la redevance audiovisuelle afin de doter le nouveau service public de la tĂ©lĂ©vision d'un financement suffisant et pĂ©renne". Selon Bernard Miyet, prĂ©sident du directoire de la Sacem, la France est le seul pays de l'Union europĂ©enne oĂč le rĂ©ajustement de la redevance a Ă©tĂ© effectuĂ© "Ă  la baisse", puisque son Ă©volution est de "-0,43% en MĂ©tropole" et de "-0,41% pour les dĂ©partements d'outre-mer". La Sacem note que la redevance a Ă©tĂ© réévaluĂ©e de + 8,6% au Royaume Uni entre 2002 et 2008 et de + 43,5% en Autriche dans la mĂȘme pĂ©riode. En SuĂšde, le montant annuel de la redevance s'Ă©lĂšve Ă  210 euros contre 116 euros en France. Selon Bernard Miyet, "l'augmentation de la redevance est une mesure minimum dĂšs lors que l'on souhaite rĂ©ellement sĂ©curiser dans la durĂ©e la rĂ©munĂ©ration des auteurs et compositeurs de musique qui n'ont pour unique ressource que leurs seuls droits d'auteur". La Sacem rappelle que les revenus des auteurs sont directement dĂ©pendants du niveau de ressources des radiodiffuseurs.
Xwycx.
  • rtku9eb7mi.pages.dev/85
  • rtku9eb7mi.pages.dev/420
  • rtku9eb7mi.pages.dev/92
  • rtku9eb7mi.pages.dev/150
  • rtku9eb7mi.pages.dev/449
  • rtku9eb7mi.pages.dev/108
  • rtku9eb7mi.pages.dev/283
  • rtku9eb7mi.pages.dev/218
  • comment faire pour ne pas payer la sacem